Les HSH homosexuels qui consomment de la méthamphétamine dans le cadre du chemsex sont 5 fois plus susceptibles d'en signaler un impact négatif sur leur santé mentale, 15 fois plus susceptibles d'être hospitalisés et 2 fois plus susceptibles de présenter une infection sexuellement transmissible que les utilisateurs d'autres drogues dans ce même contexte, selon les données d'une enquête menée auprès des personnes fréquentant la clinique de santé sexuelle de l'hôpital St Georges de Londres.