Tout sur Georges-Louis Bouchez

Les élections approchant, les débats politiques se multiplient et, avec eux, les punchlines bien senties. Malgré tout, il faut être prudent. Si la majorité des propos tenus par nos politiques est correcte, il leur arrive de dire quelques bêtises qui passent sous le radar des fact checks effectués par les journalistes. Sans dire qu'ils sont tricheurs ou de mauvaise foi, il convient d'être attentif.

Jeudi dernier, la Bourse de Namur accueillait un grand débat politique organisé par Unessa. Les grands partis francophones ont eu l'occasion de donner leur vision sur sept thématiques, parmi lesquelles la pénurie de personnel et l'attractivité des métiers du soin.

Le grand débat organisé par Unessa a donné l'occasion à son directeur général, le Dr Philippe Devos, d'exprimer les préoccupations du secteur aux principaux partis francophones. Ces derniers ont pu, à leur tour, donner leur vision sur le financement des soins de santé et sur la durabilité. Mais la pénurie et l'attractivité sont restées les sujets phares de la soirée.

Pour son 65e anniversaire, BeMedTech organise un symposium avec pour thème " L'oxygène pour nos soins de santé ". Une occasion de débattre des défis en matière de main-d'oeuvre dans le secteur de soins de santé.

Le ministre de la Santé publique, Frank Vandenbroucke (Vooruit), avance une proposition de prise en charge par l'employeur du deuxième mois de maladie en guise de lancement de la seconde phase de sa politique en matière d'incapacité de travail qu'il espère voir aboutir avant la fin de cette législature, écrivent L'Echo et De Tijd dans leur édition de jeudi.

La ministre francophone Valérie Glatigny (MR) présentera jeudi sa démission afin de subir prochainement une intervention médicale, annonce-t-elle jeudi dans un communiqué. Elle était en charge de l'Enseignement supérieur, de l'Enseignement de la Promotion sociale, des Hôpitaux universitaires, de l'Aide à la jeunesse, des Maisons de Justice, de la Jeunesse, des Sports et de la Promotion de Bruxelles.

Le Dr Yannis Léon Bakhouche conseille Georges-Louis Bouchez, le président du MR, dans le domaine des soins de santé. Ce jeune généraliste, qui exerce également en milieu hospitalier, est passionné par la politique et la santé. Un profil atypique. À suivre.

Le Dr Yannis Léon Bakhouche conseille Georges-Louis Bouchez, le président du MR, dans le domaine des soins de santé. Ce jeune généraliste, qui exerce également en milieu hospitalier, est passionné par la politique et la santé. Un profil atypique. À suivre.

Il a manqué énormément de choses à la Belgique pour affronter la pandémie, regrette le Dr Orban: pas de plan pandémique, pas d'unité de commandement, des politiciens hors-sol engoncés dans leur sous-régionalisme, un système sanitaire qui ressemble à un Rubik's Cube multicolore, pas de communication centralisée, une population et des médecins paumés... Et ça continue, hélas.

Il est difficile voire douloureux ces temps-ci de lire les quotidiens ou les médias politiques en ligne : chaque jour apporte son lot de scénarios plus ou moins réalistes pour la formation d'un gouvernement stable.

Le MR a rejoint les partis demandant le retrait des deux arrêtés royaux qui ont poussé plusieurs syndicats à déposer ces derniers jours des préavis de grève dans le secteur des soins de santé. Les deux textes contestés concernent la réquisition de personnel, et la possibilité de confier des actes infirmiers à du personnel non infirmier.

Quelle mouche a piqué Georges-Louis Bouchez de vouloir réduire le nombre de ministres de la santé de neuf à quatre ? Sous prétexte d'être plus efficace pour lutter contre le coronavirus, le président du MR a soutenu dans Le Soir l'idée de simplifier les structures ministérielles en santé et de supprimer quelques Maroquins.

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Médecine

Une étude espagnole révèle qu'une proportion importante de patients vivant avec le VIH et traités peut ressentir des symptômes causés soit par une maladie associée au VIH, soit par des effets secondaires en lien avec le traitement antirétroviral, qui peuvent être très pénibles pour certains et avoir un impact non négligeable sur la qualité de vie. Mais par sûr que ces plaintes soient toujours bien prises en compte par les praticiens.

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