Première étude prospective sur le phénomène du chemsex, pratique très en vogue dans les milieux festifs homosexuels, l'essai anglais AURAH2 constate, en 3 ans, une diminution de 2/3 des adaptes du chemsex chez les patients de trois cliniques de santé sexuelle à Londres et Brighton spécialisées dans la prise en charge, le suivi et l'accompagnement des patients VIH ou non, victimes d'addictions de tous ordres.