Si la stéatose hépatique, premier pas vers la NASH, connaît actuellement une croissance de type exponentielle de par le monde, les patients vivant avec le VIH sont loin d'être épargnés car, aux multiples facteurs de risque métaboliques déjà bien connus, s'ajoute l'inflammation chronique liée au VIH ainsi que l'impact des traitements. Face à cette nouvelle menace, une équipe romaine s'est intéressée à la prévalence de la stéatose hépatique sur un petit groupe de 60 patients et surtout à l'impact différentiel des traitements antirétroviraux, en particulier, de la nouvelle option thérapeutique allégée associant dolutégravir et lamivudine.