Selon la ministre, la consommation de drogue et de médicaments en prison est trop élevée et "l'offre en terme de soins de santé mentale en général et désintoxication en particulier est insuffisante". Maggie De Block veut élaborer un plan avec le ministre de la Justice pour améliorer ces prochaines années les soins de santé pour les détenus.

Le but est d'impliquer les différents acteurs locaux du secteur du bien-être dans la politique pénitentiaire. Cela devrait permettre d'améliorer le trajet de revalidation des détenus drogués. Le projet pilote commencera dans trois prisons.

La ministre a demandé à la toute jeune "Cellule générale de politique drogues" de mener une étude sur les meilleures pratiques au niveau local. Elle souhaite des réponses à quelques questions. "Qu'en est-il de l'accompagnement vers le marché du travail? Quelles nouvelles interventions sont développées dans les prisons? Quels types d'habitats sont ensuite disponibles?" L'étude doit montrer comment la collaboration entre les différents acteurs peut être améliorée pour permettre aux détenus de se réinsérer.

Les résultats sont attendus à l'été 2018. Une fois les réponses obtenues, le gouvernement examinera quelles bonnes pratiques doivent être diffusées en priorité.

Selon la ministre, la consommation de drogue et de médicaments en prison est trop élevée et "l'offre en terme de soins de santé mentale en général et désintoxication en particulier est insuffisante". Maggie De Block veut élaborer un plan avec le ministre de la Justice pour améliorer ces prochaines années les soins de santé pour les détenus.Le but est d'impliquer les différents acteurs locaux du secteur du bien-être dans la politique pénitentiaire. Cela devrait permettre d'améliorer le trajet de revalidation des détenus drogués. Le projet pilote commencera dans trois prisons.La ministre a demandé à la toute jeune "Cellule générale de politique drogues" de mener une étude sur les meilleures pratiques au niveau local. Elle souhaite des réponses à quelques questions. "Qu'en est-il de l'accompagnement vers le marché du travail? Quelles nouvelles interventions sont développées dans les prisons? Quels types d'habitats sont ensuite disponibles?" L'étude doit montrer comment la collaboration entre les différents acteurs peut être améliorée pour permettre aux détenus de se réinsérer. Les résultats sont attendus à l'été 2018. Une fois les réponses obtenues, le gouvernement examinera quelles bonnes pratiques doivent être diffusées en priorité.