Pour Maggie De Block, le ministre de l'Enseignement supérieur Jean-Claude Marcourt prend "une énorme responsabilité" en laissant autant de jeunes entamer ce cursus alors que beaucoup ne pourront exercer le métier. "Ce n'est pas correct", a jugé mercredi matin la ministre, interrogée sur les ondes de la VRT-radio.

Organisé depuis deux ans, l'examen d'entrée en médecine et dentisterie vise à limiter l'accès d'étudiants dans la filière médicale, une exigence forte de la ministre fédérale en début de législature qui menaçait de ne plus délivrer de numéros Inami aux nouveaux médecins francophones sans "filtre efficace" à l'entame des études en Fédération Wallonie-Bruxelles.

Mais à la lumière des derniers résultats de l'épreuve, la ministre fédérale estime que les francophones ont mis la barre bien trop bas.

"Laisser des gens entamer des études tout en sachant que près de la moitié d'entre eux sont de trop, ce n'est pas correct", fustige la ministre, qui rappelle qu'il s'agit là d'études longues et difficiles, et coûteuses à financer.

Lire aussi : un taux de réussite semblable à la Flandre, selon l'Ares

Pour Maggie De Block, le ministre de l'Enseignement supérieur Jean-Claude Marcourt prend "une énorme responsabilité" en laissant autant de jeunes entamer ce cursus alors que beaucoup ne pourront exercer le métier. "Ce n'est pas correct", a jugé mercredi matin la ministre, interrogée sur les ondes de la VRT-radio. Organisé depuis deux ans, l'examen d'entrée en médecine et dentisterie vise à limiter l'accès d'étudiants dans la filière médicale, une exigence forte de la ministre fédérale en début de législature qui menaçait de ne plus délivrer de numéros Inami aux nouveaux médecins francophones sans "filtre efficace" à l'entame des études en Fédération Wallonie-Bruxelles. Mais à la lumière des derniers résultats de l'épreuve, la ministre fédérale estime que les francophones ont mis la barre bien trop bas. "Laisser des gens entamer des études tout en sachant que près de la moitié d'entre eux sont de trop, ce n'est pas correct", fustige la ministre, qui rappelle qu'il s'agit là d'études longues et difficiles, et coûteuses à financer.Lire aussi : un taux de réussite semblable à la Flandre, selon l'Ares