Tout sur Dr De Munck

Le président du GBO revient sur les acquis de l'accord médico-mut mais aussi sur les incertitudes nombreuses qui l'entourent: DMG étendu à d'autres classes d'âge, suppression de l'interdiction du tiers-payant et financement des gardes de semaine ainsi que la consultation à 30 euros font partie des grands acquis. L'absence d'indexation et les incertitudes notamment sur le financement des assistants de pratique font partie du revers de la médaille. Mais on ne peut pas tout avoir, rappelle ce vieux loup du syndicalisme.

"Nous avons tenu deux ans, durant toute la pandémie, nous n'allons pas arrêter maintenant, mais de nombreux généralistes sont sous pression. Les autorités s'en rendent-elles bien compte?", interpelle Paul De Munck, président du GBO. Il revient pour le jdM sur plusieurs dossiers chauds du moment qui participent à l'épuisement des médecins de famille.

A l'initiative du journal du Médecin et du Pharmacien, le docteur Michel De Munck - surnommé de HarleyDoc en raison de sa passion pour la marque de moto bien connue - s'est rendu ce dimanche matin 17 novembre au domicile de la ministre Maggie De Block à Merchtem.

À l'initiative de jeunes médecins et fruit d'une longue gestation, le site internet de témoignages " lesendocs.be " est en ligne ce vendredi. Le GBO, qui encadre l'initiative, a pris toutes les précautions juridiques pour assurer son succès. Le syndicat de MG, associé au Modes (le Monde des spécialistes), espère faire avancer les choses et améliorer le statut et la vie de tous les jours des MG et des spécialistes en formation. Explications avec Alexia Orban, une des fondatrices, et Paul De Munck, président du GBO.

Un sondage réalisé par le Ph. Marc Dooms (voir ci-contre) et ses collègues indiquent que les généralistes s'attribuent un rôle plutôt passif vis-à-vis des patients atteints de maladies rares. Le Dr Paul De Munck, président du GBO, voit les choses autrement.

Partner Content

Découvrez ici comment initier Polly.

Médecine

Une étude espagnole révèle qu'une proportion importante de patients vivant avec le VIH et traités peut ressentir des symptômes causés soit par une maladie associée au VIH, soit par des effets secondaires en lien avec le traitement antirétroviral, qui peuvent être très pénibles pour certains et avoir un impact non négligeable sur la qualité de vie. Mais par sûr que ces plaintes soient toujours bien prises en compte par les praticiens.

Gestion