Selon une étude menée au Royaume-Uni, les personnes vivant avec le VIH modifient leur traitement antirétroviral deux fois plus souvent qu'il y a dix ans, une augmentation qui n'a rien d'inquiétant, bien au contraire, puisqu'elle reflète d'une part la disponibilité de multiples et meilleures options thérapeutiques, plus efficaces, plus sûres et plus commodes et, d'autre part, la volonté des cliniciens d'adapter au mieux les schémas thérapeutiques aux besoins individuels de chaque personne.