On ne le sait pas toujours mais les traitements antirétroviraux représentent environ 86% du coût total de la prise en charge du VIH, en France en tout cas. Pour alléger quelque peu l'addition, il est maintenant possible de recourir à des formes génériques pour certains antirétroviraux couramment prescrits. Dans quelles proportions ces génériques sont-ils prescrits et quels sont les facteurs qui en influencent la prescription, telles sont les questions auxquelles a voulu répondre une équipe d'investigateurs parisiens.