La Cour de justice et le Tribunal de l'UE ont respectivement été saisis par l'Italie et la ville de Milan d'un recours visant à faire annuler la décision du Conseil de l'UE d'établir le siège de l'EMA à Amsterdam dans la perspective du Brexit.

Les autorités italiennes estimaient être en droit d'introduire un tel recours devant les instances judiciaires européennes après les déclarations des autorités néerlandaises, qui reconnaissaient lundi que le bâtiment censé abriter l'agence ne serait pas prêt avant novembre 2019.

Le gouvernement italien veut obtenir l'assurance que le choix de la ville d'Amsterdam ne s'est pas fait sur des bases incomplètes ou parce que certains faits ont été dissimulés, comme la date d'entrée dans le futur bâtiment.

"Le Conseil des ministres européens a pris une décision (en novembre dernier, ndlr) et la Commission est responsable de son implémentation", a affirmé M. Andriukaitis. "Nous suivrons l'agenda et les plans", a ajouté le commissaire lituanien, avant de préciser que l'exécutif européen était en "contact étroit" avec le gouvernement néerlandais qu'il l'aiderait à respecter ses engagements.

La Cour de justice et le Tribunal de l'UE ont respectivement été saisis par l'Italie et la ville de Milan d'un recours visant à faire annuler la décision du Conseil de l'UE d'établir le siège de l'EMA à Amsterdam dans la perspective du Brexit.Les autorités italiennes estimaient être en droit d'introduire un tel recours devant les instances judiciaires européennes après les déclarations des autorités néerlandaises, qui reconnaissaient lundi que le bâtiment censé abriter l'agence ne serait pas prêt avant novembre 2019.Le gouvernement italien veut obtenir l'assurance que le choix de la ville d'Amsterdam ne s'est pas fait sur des bases incomplètes ou parce que certains faits ont été dissimulés, comme la date d'entrée dans le futur bâtiment."Le Conseil des ministres européens a pris une décision (en novembre dernier, ndlr) et la Commission est responsable de son implémentation", a affirmé M. Andriukaitis. "Nous suivrons l'agenda et les plans", a ajouté le commissaire lituanien, avant de préciser que l'exécutif européen était en "contact étroit" avec le gouvernement néerlandais qu'il l'aiderait à respecter ses engagements.