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Le journal du Médecin: Pour quelles raisons avez-vous été élu, selon vous? Stan Politis: Les raisons sont probablement multiples: la détermination à aborder la question du siège et à mener à bien la succession de Fanny Vandamme; l'attention portée aux services fournis aux unions professionnelles (UP) et l'assurance que les préoccupations des médecins spécialistes sur le terrain seront prises en compte, sans pour autant perdre de vue le patient. Mes nombreuses années d'expérience et de connaissances en matière de gestion des soins de santé, de nomenclature et de financement des hôpitaux auront joué un rôle à cet égard, en plus d'une carrière universitaire riche et variée à la KUL. Quelle est votre ambition pour le GBS pour votre prochaine mandature de président? Je m'engage notamment à assurer une gestion performante en faveur des UP affiliées, à développer le GBS en tant que centre de connaissances, à consulter les syndicats médicaux, à développer la cogouvernance en collaboration avec les hôpitaux et à mettre en avant la médecine extrahospitalière. Je m'efforcerai d'unir toutes les unions professionnelles de médecins spécialistes au sein du GBS, en m'appuyant sur les nombreuses questions qui les lient et en respectant l'identité et les points de vue de chacun. Quels sont les trois chantiers prioritaires pour le GBS? Dans l'ordre chronologique: les soucis du siège concernant le logiciel CRM et la succession de Fanny Vandamme. Le deuxième chantier est la participation active des UP dans le développement du GBS en centre de référence et en centre de connaissances. Le troisième chantier est la défense commune des énormes défis qui approchent, notamment la réforme de la nomenclature, la réforme du financement des hôpitaux et la cogouvernance, les problèmes accrus de la médecine extramurale. Ce troisième chantier nécessite une collaboration étroite entre toutes les sections du GBS et une étroite collaboration avec les syndicaux médicaux.