Marnix Denys, directeur général de l'association professionnelle beMedTech, a fait part de sa frustration concernant les procédures d'homologation des dispositifs médicaux. Cette première édition du Prix Galien décerné aux dispositifs médicaux, lui a offert une belle tribune. Pedro Facon, administrateur-général adjoint de l'Inami, s'est amicalement joint à lui. "Le meilleur prix, le vrai Prix Galien pour le produit gagnant, c'est le remboursement", a-t-il déclaré avec flegme. "Après tout, il doit passer devant dix comités et cela prend du temps." Le même Pedro Facon dira ensuite: "De nombreuses parties prenantes veulent du changement. Il suffit de suivre les 'comptes d'apothicaires' au sein du Comité de l'assurance le lundi matin pour être démoralisé." Comme personne, l'ancien commissaire corona réalise l'importance d'une approche plus transversale. D'ailleurs, un parcours de soins dans un domaine inattendu, la pré et post-réhabilitation en transplantation d'organes abdominaux, prouve que l'Inami y travaille.

Bien entendu, le haut fonctionnaire s'est également montré critique à l'égard du secteur. Un grand nombre de nouveaux produits arrivent sur le marché. Seuls les produits abordables et dont la valeur ajoutée est démontrée - en tout cas par rapport à l'arsenal thérapeutique existant - peuvent être remboursés. Les dispositifs qui automatisent les opérations ou qui requièrent des profils moins hautement qualifiés ont un avantage. C'est compréhensible compte tenu de l'énorme pénurie de main-d'oeuvre sur le marché du travail.

Par ailleurs, il n'y aura plus de "pax pharmaceutica" entre le gouvernement et pharma.be au cours de cette législature. Un accord avec beMedTech sur les dispositifs médicaux est également exclu.

Marnix Denys, directeur général de l'association professionnelle beMedTech, a fait part de sa frustration concernant les procédures d'homologation des dispositifs médicaux. Cette première édition du Prix Galien décerné aux dispositifs médicaux, lui a offert une belle tribune. Pedro Facon, administrateur-général adjoint de l'Inami, s'est amicalement joint à lui. "Le meilleur prix, le vrai Prix Galien pour le produit gagnant, c'est le remboursement", a-t-il déclaré avec flegme. "Après tout, il doit passer devant dix comités et cela prend du temps." Le même Pedro Facon dira ensuite: "De nombreuses parties prenantes veulent du changement. Il suffit de suivre les 'comptes d'apothicaires' au sein du Comité de l'assurance le lundi matin pour être démoralisé." Comme personne, l'ancien commissaire corona réalise l'importance d'une approche plus transversale. D'ailleurs, un parcours de soins dans un domaine inattendu, la pré et post-réhabilitation en transplantation d'organes abdominaux, prouve que l'Inami y travaille. Bien entendu, le haut fonctionnaire s'est également montré critique à l'égard du secteur. Un grand nombre de nouveaux produits arrivent sur le marché. Seuls les produits abordables et dont la valeur ajoutée est démontrée - en tout cas par rapport à l'arsenal thérapeutique existant - peuvent être remboursés. Les dispositifs qui automatisent les opérations ou qui requièrent des profils moins hautement qualifiés ont un avantage. C'est compréhensible compte tenu de l'énorme pénurie de main-d'oeuvre sur le marché du travail. Par ailleurs, il n'y aura plus de "pax pharmaceutica" entre le gouvernement et pharma.be au cours de cette législature. Un accord avec beMedTech sur les dispositifs médicaux est également exclu.