Récemment, un nombre croissant de femmes du monde entier ont développé une crainte des thérapies hormonales, tous types confondus. Selon le professeur Johannes Bitzer, une interprétation erronée des statistiques et des chiffres, ainsi que le mode de communication des résultats des études, ont créé les conditions favorisant l'avènement de cette " hormonophobie ". En mettant clairement en perspective les bénéfices et les risques lors d'une consultation individuelle et en adoptant un processus de décision partagé, les femmes devraient être en mesure de prendre des décisions objectives.