Tout sur FWB

Le 21 septembre dernier l'Association professionnelle des médecins scolaires (APMS) a envoyé une lettre ouverte à la ministre de l'Enfance et de la Santé en FWB, Bénédicte Linard (Écolo). L'association y décrit une "situation alarmante et maltraitante pour les équipes PSE".

La discussion autour des numéros Inami bat son plein au niveau fédéral. Le gouvernement doit se pencher sur les quotas à accorder pour 2027 et sur le nombre de candidats supplémentaires autorisés pour 2021. Mais - c'est la ritournelle - le Nord et le Sud du pays ne sont pas sur la même longueur d'onde.

Après une semaine de rentrée, les équipes de promotion de santé à l'école (PSE), en collaboration avec Sciensano et l'ONE, poursuivent le relevé des cas qui leur sont signalés dans les écoles de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Les équipes ont comptabilisés 1096 cas Covid ( élèves et personnel compris) sur une semaine.

Durant la semaine du 19 au 25 octobre, le nombre de cas de Covid-19 dans les écoles de la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) a continué à augmenter, comme dans l'ensemble de la population.5.271 cas de Covid-19 ont été signalés aux équipes PSE (Promotion de la Santé à l'Ecole) pour 900.000 élèves en FWB, ce qui représente 0,58% des élèves.

Après la 7ème semaine d'école, on a pu constater une forte hausse du nombre de cas de Covid-19 et du nombre de quarantaines dans les écoles. Une courbe qui suit l'ensemble des cas dans la population de manière générale.

Alors que le Cium et l'Absym exigeaient mardi un numerus fixus unique pour les étudiants de la cohorte qui a réussi l'examen d'entrée cet été après les années de bachelier, avec des passerelles vers des domaines autres que la médecine, c'est à la Fef de se manifester mercredi. Pour la Fédération des Etudiants francophones, cette proposition est une "fausse bonne idée" et "le problème n'est pas tant la forme de la sélection, mais bien l'existence de quotas limités de numéros Inami".

Quelle est la vision wallonne de la réforme du paysage hospitalier ? Une question qui taraude Joëlle Kapompole (PS), députée wallonne et présidente démissionnaire du CHU Ambroise Paré. Y-a-t-il une concertation avec le gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) ? S'en dégage-t-il une vision francophone unique ? Pas encore, mais Alda Greoli, ministre wallonne de la Santé, y travaille.

Le ministre-président de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Rudy Demotte, a réclamé mercredi matin, en Comité de concertation, le retrait pur et simple du dispositif des 500 euros mensuels exonérés de charges sociales et fiscales pour le travail occasionnel.

Le jdM était présent à la sortie de l'examen d'entrée, ce 8 septembre, pour recueillir les témoignages de plusieurs candidats à cette épreuve, organisée pour la première en FWB. Giovanni Briganti, co-président du CIUM, critique le mécanisme mis en place. Reportage-vidéo.

La plupart des organisations étudiantes feront aujourd'hui un sitting devant le siège de la Fédération Wallonie-Bruxelles place Surlet de Chokier à Bruxelles pour protester contre la décision du conseil d'Etat de maintenir les résultats du concours de fin de 1er BAC, suite à un recours collectif contre ce concours et obligeant les étudiants ayant échoué à passer l'examen d'entrée de septembre.

La volonté soudaine du cdH de ne plus travailler au sein des entités fédérées avec les socialistes - devenus "infréquentables" - risque d'impacter de nombreux dossiers "santé" en charge des gouvernements bruxellois, wallon et de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Le jdM dresse une liste non-exhaustive des projets et décisions qui risquent de connaître un bon coup de frein.

Suite de notre recension de l'enquête "Comportements, bien-être et santé des élèves" menée tous les quatre ans auprès d'élèves de la 5e primaire à la 6e-7e secondaire en Fédération Wallonie-Bruxelles. Le jdM se concentre cette fois sur les habitudes alimentaires et sportives.

Le parti francophone soutient l'action en référé des fédérations étudiantes pour l'annulation du concours de fin de BAC1 en médecine et dentisterie. Caroline Persoons, députée au parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, estime que le gouvernement francophone aurait dû tenir compte des arrêts du conseil d'Etat invalidant en 2016 le fondement même de ce concours.

La semaine dernière, au parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, a été voté le décret relatif à l'instauration d'un examen d'entrée majorité contre opposition, et ce, malgré que ce projet fût un projet initialement défendu par le MR. Le vote de cet examen d'entrée, c'est surtout l'aboutissement d'un jeu politique malsain vraisemblablement dicté et piloté par la N-VA (et l'OpenVLD) contre le Parti Socialiste, avec la complicité de leurs collaborateurs du MR, le tout gentiment porté en FWB par l'aile droite du CDH, un parti s'auto-définissant comme humaniste.

La saga des Inami et de la question de l'examen d'entrée refait surface, comme à peu près tous les 3 ans. En effet, suite à l'introduction de plusieurs recours simultanés, le Conseil d'Etat a remis en question le concours de fin de première année en médecine suite au fait que celui-ci implémentait des quotas jugés injustifiés par le Conseil d'Etat. Si l'intégrité même du concours n'est pas remise en question, le travail de la ministre De Block est fortement critiqué, entre autre par cette volonté permanente de réduire le nombre de médecins pour réduire les coûts et dépenses en soins de santé.

Le nombre de plaintes reçues par le Médiateur dans le domaine communautaire de la santé a augmenté de 680%, ressort-il de son rapport annuel de 2015 présenté vendredi. En cause, la structure labyrinthique de nos administrations.

Médecine

Article du magazine

Les médecins de première ligne jouent un rôle capital dans le paysage de la prévention du cancer du col de l'utérus, à la fois pour motiver à la vaccination et au dépistage, et pour assurer le suivi des frottis anormaux. Au niveau de la deuxième ligne, nous devons rester vigilants à l'égard du surtraitement, mais aussi du sous-traitement des femmes HPV-positives.

Clinical Update

Article du magazine

La prévalence de l'asthme est toujours en augmentation dans notre pays, et tout particulièrement chez les enfants au nord du sillon Sambre-et-Meuse - la faute en revient sans doute à une densité de population et à un degré de pollution atmosphérique plus élevés. Dans ce contexte, plus que jamais, le choix d'un traitement adapté et la garantie d'un bon suivi sont d'une importance majeure.