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Pour Caroline Persoons, députée DéFI au parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) "on aurait pu s'attendre à ce que le Gouvernement de la Fédération assume ses accords, tienne compte des arrêts du Conseil d'Etat de juillet 2016 et prenne toutes les mesures nécessaires pour éviter les doubles peines aux étudiants. Hélas, il n'en est rien : les étudiants devront préparer le concours tout en sachant que l'épreuve présente un défaut majeur de fondement". N'épargnant pas le Fédéral, Caroline Persoons souligne qu'après avoir négligé l'avis Evidence based policy de la commission de planification, Maggie De Block "a enfreint la règle imposant un délai minimum de 6 ans entre la publication officielle des quotas et la sortie présumée des étudiants concernés. Aucune garantie légale n'a donc été prise pour déterminer combien d'étudiants en première année pourront poursuivre leurs études en septembre 2017. En conséquence, le concours de juin, dont la pertinence fait déjà débat, se retrouve sans fondement juridique."