Le rassemblement est organisé et soutenu par diverses organisations étudiantes - la FEF (Fédération des étudiants francophones), le Cium (Comité interuniversitaire des étudiants en médecine francophones), l'AGL (Assemblée générale des étudiants de l'UCL), l'AGW (Assemblée générale des étudiants de Louvain en Woluwé), l'AGE (Assemblée générale des étudiants), le BEA (Bureau des étudiants administrateurs de l'ULB), le BEM (bureau des étudiants en médecine de l'ULB) et la Fédé (Fédération des étudiants de Liège).

Début juillet, un recours collectif avait été introduit au Conseil d'Etat par ces mêmes associations étudiantes, suite à l'annonce des résultats du concours de juin 2017 en médecine et dentisterie. L'objectif était l'annulation a posteriori des quotas sur lesquels le concours est basé.

"Malheureusement, le 28 juillet, le Conseil d'Etat a pris la décision de ne pas annuler les résultats dudit concours, rejetant, sur la forme, le caractère d'extrême-urgence du recours. Les étudiant.e.s n'étant pas classé.e.s en ordre utile se voyaient donc contraint.e.s de passer et réussir l'examen d'entrée [qui sera organisé le 8 septembre] pour poursuivre leurs études. Une situation invraisemblable et pourtant bien réelle que les organisations de représentation étudiante déplorent fermement et continueront à dénoncer avec force devant le siège du gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles ce jour. Il est inacceptable que les étudiant.e.s subissent un nouveau jeu politique de renvoi de balle entre la FWB et l'Etat fédéral, alors que des quotas ne correspondent à aucune réalité. Les associations étudiantes demandent d'ailleurs, et ce depuis longtemps, la mise en place d'un cadastre dynamique."

Le rassemblement est organisé et soutenu par diverses organisations étudiantes - la FEF (Fédération des étudiants francophones), le Cium (Comité interuniversitaire des étudiants en médecine francophones), l'AGL (Assemblée générale des étudiants de l'UCL), l'AGW (Assemblée générale des étudiants de Louvain en Woluwé), l'AGE (Assemblée générale des étudiants), le BEA (Bureau des étudiants administrateurs de l'ULB), le BEM (bureau des étudiants en médecine de l'ULB) et la Fédé (Fédération des étudiants de Liège).Début juillet, un recours collectif avait été introduit au Conseil d'Etat par ces mêmes associations étudiantes, suite à l'annonce des résultats du concours de juin 2017 en médecine et dentisterie. L'objectif était l'annulation a posteriori des quotas sur lesquels le concours est basé."Malheureusement, le 28 juillet, le Conseil d'Etat a pris la décision de ne pas annuler les résultats dudit concours, rejetant, sur la forme, le caractère d'extrême-urgence du recours. Les étudiant.e.s n'étant pas classé.e.s en ordre utile se voyaient donc contraint.e.s de passer et réussir l'examen d'entrée [qui sera organisé le 8 septembre] pour poursuivre leurs études. Une situation invraisemblable et pourtant bien réelle que les organisations de représentation étudiante déplorent fermement et continueront à dénoncer avec force devant le siège du gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles ce jour. Il est inacceptable que les étudiant.e.s subissent un nouveau jeu politique de renvoi de balle entre la FWB et l'Etat fédéral, alors que des quotas ne correspondent à aucune réalité. Les associations étudiantes demandent d'ailleurs, et ce depuis longtemps, la mise en place d'un cadastre dynamique."