Le ministre Vandenbroucke est pour le moins impopulaire dans le corps médical. Près d'un médecin sondé sur trois (27,31%) accorde au ministre Vooruit un zéro pointé ou un maigre 1/10. 57% des sondés ne lui donnent pas la moyenne. Un médecin sur quatre lui attribue pourtant 7 sur 10 ou plus. Les résultats sont donc très contrastés entre les médecins extrêmement mécontents de la politique menée et celles et ceux qui reconnaissent au ministre du mérite.

En se penchant sur les détails, on observe très peu de différences entre les médecins néerlandophones et les médecins francophones. Les premiers donnent une note légèrement supérieure (4/10) à leurs confrères du Sud (3,6/10).

En comparant les avis des spécialistes et des généralistes, on constate par contre que les spécialistes sont beaucoup plus sévères avec le ministre fédéral de la Santé avec une note de 3,4 sur 10 contre 4,3 pour les médecins généralistes. 37,9% de ces derniers estiment même que la politique santé menée par Vandenbroucke vaut au minimum un 6/10, contre seulement un médecin spécialiste sur quatre.

La Vivaldi fait pire

Le ministre pourra se targuer de faire (un peu) mieux que le reste du gouvernement. La politique du gouvernement Vivaldi obtient effectivement une note de 3,2 sur 10. Trois médecins sur dix (29,4%) attribuent au mieux la note de 1/10. Et ils ne sont que 36% à attribuer la moyenne ou mieux.

Contrairement à la politique santé, les spécialistes et les généralistes sont sur la même longueur d'onde et accordent respectivement la note de 3,2 et 3,6 sur 10 à la Vivaldi. À l'instar de la note donnée au ministre Vandenbroucke, les médecins néerlandophones (3,2 sur 10) sont légèrement plus sévères que leurs confrères francophones (3,8 sur 10).

Le ministre Vandenbroucke est pour le moins impopulaire dans le corps médical. Près d'un médecin sondé sur trois (27,31%) accorde au ministre Vooruit un zéro pointé ou un maigre 1/10. 57% des sondés ne lui donnent pas la moyenne. Un médecin sur quatre lui attribue pourtant 7 sur 10 ou plus. Les résultats sont donc très contrastés entre les médecins extrêmement mécontents de la politique menée et celles et ceux qui reconnaissent au ministre du mérite. En se penchant sur les détails, on observe très peu de différences entre les médecins néerlandophones et les médecins francophones. Les premiers donnent une note légèrement supérieure (4/10) à leurs confrères du Sud (3,6/10). En comparant les avis des spécialistes et des généralistes, on constate par contre que les spécialistes sont beaucoup plus sévères avec le ministre fédéral de la Santé avec une note de 3,4 sur 10 contre 4,3 pour les médecins généralistes. 37,9% de ces derniers estiment même que la politique santé menée par Vandenbroucke vaut au minimum un 6/10, contre seulement un médecin spécialiste sur quatre. Le ministre pourra se targuer de faire (un peu) mieux que le reste du gouvernement. La politique du gouvernement Vivaldi obtient effectivement une note de 3,2 sur 10. Trois médecins sur dix (29,4%) attribuent au mieux la note de 1/10. Et ils ne sont que 36% à attribuer la moyenne ou mieux. Contrairement à la politique santé, les spécialistes et les généralistes sont sur la même longueur d'onde et accordent respectivement la note de 3,2 et 3,6 sur 10 à la Vivaldi. À l'instar de la note donnée au ministre Vandenbroucke, les médecins néerlandophones (3,2 sur 10) sont légèrement plus sévères que leurs confrères francophones (3,8 sur 10).