L'OMS fonde ses conclusions sur des données concernant plus de 50.000 enfants issus de 17 pays d'Europe. En Italie, au Portugal, en Turquie et en Roumanie notamment, des parents ont rempli des questionnaires avant et pendant la pandémie sur le mode de vie de leurs enfants âgés de sept à neuf ans. Cela permet d'examiner rétrospectivement les changements survenus chez eux au cours de la crise sanitaire.

L'étude confirme les soupçons selon lesquels le fait de rester assis à la maison n'améliore pas la condition physique des enfants. Le pourcentage d'enfants ayant un poids normal selon leurs parents a chuté de 82% à 73%. Dans le même temps, le pourcentage d'enfants en surpoids aux yeux de leurs parents a doublé dans les pays étudiés et est passé de 8% à 16%.

Des études antérieures avaient déjà montré que de nombreux enfants et adolescents se sentaient également plus mal dans leur peau durant la pandémie. Cette étude le confirme: un enfant sur cinq s'est senti plus souvent triste pendant les "années corona", un sur quatre s'est senti plus souvent seul.

L'OMS fonde ses conclusions sur des données concernant plus de 50.000 enfants issus de 17 pays d'Europe. En Italie, au Portugal, en Turquie et en Roumanie notamment, des parents ont rempli des questionnaires avant et pendant la pandémie sur le mode de vie de leurs enfants âgés de sept à neuf ans. Cela permet d'examiner rétrospectivement les changements survenus chez eux au cours de la crise sanitaire. L'étude confirme les soupçons selon lesquels le fait de rester assis à la maison n'améliore pas la condition physique des enfants. Le pourcentage d'enfants ayant un poids normal selon leurs parents a chuté de 82% à 73%. Dans le même temps, le pourcentage d'enfants en surpoids aux yeux de leurs parents a doublé dans les pays étudiés et est passé de 8% à 16%. Des études antérieures avaient déjà montré que de nombreux enfants et adolescents se sentaient également plus mal dans leur peau durant la pandémie. Cette étude le confirme: un enfant sur cinq s'est senti plus souvent triste pendant les "années corona", un sur quatre s'est senti plus souvent seul.