Alors que en Fédération Wallonie-Bruxelles, une réunion entre doyens et ministre de l'Enseignement supérieur pour sortir de l'impasse de la suspension du contingentement n'a rien donné étant donné la complexité juridique du dossier, les Mutualités chrétiennes se mêlent au débat. Le plus gros assureur du pays demande aux hommes politiques de prendre leurs responsabilités. Les MC soutiennent la répartition des quotas en faveur de la partie francophones mais " regrettent que la Communauté française n'ait pas réussi en 20 ans à limiter le nombre d'étudiants sans les sanctionner".