Le questionnaire utilisé à cet effet a été validé scientifiquement et a été élaboré en collaboration avec le professeur Geert Dom (Université d'Anvers et président de l'European Federation of Addiction Societies).

Un appel à participer à l'enquête a été lancé dans Le Journal de Médecin/Artsenkrant et le Pharmacien/Apotheker du 18 février 2021. Dans ces éditions, plusieurs articles ont présenté les problématiques et des témoignages. Le blister contenait un questionnaire papier et une enveloppe (port payé par le destinataire) qui pouvaient être renvoyées. De plus, les médecins et pharmaciens ont pu répondre aux questionnaires en ligne sur nos sites entre le 18 février et le 10 mars sur les sites francophones et néerlandophones des deux médias. L'enquête a également été envoyée avec les newsletters (bi) hebdomadaires des deux magazines.

Profil des participants

Au total, 438 pharmaciens néerlandophones et 351 francophones ont répondu à l'enquête. En outre, 2.366 médecins néerlandophones et 1.206 médecins francophones y ont également participé. En tout, 4.361 médecins et pharmaciens ont répondu à notre enquête. Plus d'un cinquième des questionnaires étaient incomplets, ce qui est habituellement la norme pour une enquête en ligne.

2.315 réponses ont été envoyées par voie numérique (1.931 de médecins et 384 de pharmaciens). 2.046 réponses "papier" ont été reçues (1.641 de médecins et 405 de pharmaciens).

Parmi les médecins qui ont participé en ligne, 78% sont néerlandophones. 54% des pharmaciens le sont également.

Les femmes médecins (53,9%) ont participé davantage que les hommes à l'enquête. Chez les pharmaciens, une profession davantage féminisée, la proportion de femmes s'élève à 75,4%.

Les médecins généralistes francophones ont été plus nombreux que leurs homologues néerlandophones à participer. Tandis que beaucoup plus de spécialistes et surtout de spécialistes en formation néerlandophones ont répondu à l'enquête.

La plupart des répondants spécialistes travaillent dans un hôpital (86,3%), mais une proportion importante travaille également dans un cabinet privé (29,1%).

La participation a été particulièrement élevée de la part des psychiatres, des anesthésistes, des pédiatres, des obstétriciens-gynécologues, des internistes, des chirurgiens/ orthopédistes et des médecins urgentistes.

Il est frappant de constater que de nombreux jeunes médecins ont participé à l'enquête, 35,1% sont nés après 1980. Il y a une répartition égale entre les autres catégories d'âge - nés entre 1950-'60, '61 -'70, '71 -'80) - 21,9%, 19,3% et 17,8% respectivement. Toutes les tranches d'âge, en particulier les plus jeunes, sont donc bien représentées.

Le questionnaire utilisé à cet effet a été validé scientifiquement et a été élaboré en collaboration avec le professeur Geert Dom (Université d'Anvers et président de l'European Federation of Addiction Societies). Un appel à participer à l'enquête a été lancé dans Le Journal de Médecin/Artsenkrant et le Pharmacien/Apotheker du 18 février 2021. Dans ces éditions, plusieurs articles ont présenté les problématiques et des témoignages. Le blister contenait un questionnaire papier et une enveloppe (port payé par le destinataire) qui pouvaient être renvoyées. De plus, les médecins et pharmaciens ont pu répondre aux questionnaires en ligne sur nos sites entre le 18 février et le 10 mars sur les sites francophones et néerlandophones des deux médias. L'enquête a également été envoyée avec les newsletters (bi) hebdomadaires des deux magazines. Au total, 438 pharmaciens néerlandophones et 351 francophones ont répondu à l'enquête. En outre, 2.366 médecins néerlandophones et 1.206 médecins francophones y ont également participé. En tout, 4.361 médecins et pharmaciens ont répondu à notre enquête. Plus d'un cinquième des questionnaires étaient incomplets, ce qui est habituellement la norme pour une enquête en ligne. 2.315 réponses ont été envoyées par voie numérique (1.931 de médecins et 384 de pharmaciens). 2.046 réponses "papier" ont été reçues (1.641 de médecins et 405 de pharmaciens). Parmi les médecins qui ont participé en ligne, 78% sont néerlandophones. 54% des pharmaciens le sont également. Les femmes médecins (53,9%) ont participé davantage que les hommes à l'enquête. Chez les pharmaciens, une profession davantage féminisée, la proportion de femmes s'élève à 75,4%. Les médecins généralistes francophones ont été plus nombreux que leurs homologues néerlandophones à participer. Tandis que beaucoup plus de spécialistes et surtout de spécialistes en formation néerlandophones ont répondu à l'enquête. La plupart des répondants spécialistes travaillent dans un hôpital (86,3%), mais une proportion importante travaille également dans un cabinet privé (29,1%). La participation a été particulièrement élevée de la part des psychiatres, des anesthésistes, des pédiatres, des obstétriciens-gynécologues, des internistes, des chirurgiens/ orthopédistes et des médecins urgentistes. Il est frappant de constater que de nombreux jeunes médecins ont participé à l'enquête, 35,1% sont nés après 1980. Il y a une répartition égale entre les autres catégories d'âge - nés entre 1950-'60, '61 -'70, '71 -'80) - 21,9%, 19,3% et 17,8% respectivement. Toutes les tranches d'âge, en particulier les plus jeunes, sont donc bien représentées.