"Concrètement, Solidaris rembourse jusqu'à 50 euros par an (et non plus 40 euros) pour la pilule contraceptive, la contraception d'urgence (hors pilule abortive), l'anneau vaginal contraceptif, l'injection, le patch contraceptif, le diaphragme et la cape cervicale."

La Mutualité socialiste prend également en charge, et à hauteur de la même somme, le remboursement du préservatif masculin. Enfin, le remboursement est également prévu pour les stérilets et implants et ce, jusqu'à 150 euros sur 3 ans.

Cette décision intervient alors qu'une étude Solidaris montre que la pilule est principalement utilisée par les femmes de 14 à 20 ans "alors que passées 40 ans, elles lui préfèrent le stérilet". Si les jeunes sont particulièrement concerné(e)s, "le gynécologue demeure l'interlocuteur privilégié sur la question (vs leur partenaire ou leurs amis pour les hommes)".

En revanche, le préservatif, principale protection contre les MST, chute fortement.

Jean-Pascal Labille, secrétaire général de Solidaris souligne que "la question de la contraception est plus sensible et centrale que jamais dans une société où les notions de liberté, de choix et d'émancipation sont régulièrement remises en cause. La rendre plus accessible dans le cadre d'une politique plus globale de sensibilisation et d'éducation menée depuis plusieurs années par Solidaris et son réseau associatif et socio-sanitaire, n'en est que plus essentiel".

"Concrètement, Solidaris rembourse jusqu'à 50 euros par an (et non plus 40 euros) pour la pilule contraceptive, la contraception d'urgence (hors pilule abortive), l'anneau vaginal contraceptif, l'injection, le patch contraceptif, le diaphragme et la cape cervicale." La Mutualité socialiste prend également en charge, et à hauteur de la même somme, le remboursement du préservatif masculin. Enfin, le remboursement est également prévu pour les stérilets et implants et ce, jusqu'à 150 euros sur 3 ans.Cette décision intervient alors qu'une étude Solidaris montre que la pilule est principalement utilisée par les femmes de 14 à 20 ans "alors que passées 40 ans, elles lui préfèrent le stérilet". Si les jeunes sont particulièrement concerné(e)s, "le gynécologue demeure l'interlocuteur privilégié sur la question (vs leur partenaire ou leurs amis pour les hommes)". En revanche, le préservatif, principale protection contre les MST, chute fortement.Jean-Pascal Labille, secrétaire général de Solidaris souligne que "la question de la contraception est plus sensible et centrale que jamais dans une société où les notions de liberté, de choix et d'émancipation sont régulièrement remises en cause. La rendre plus accessible dans le cadre d'une politique plus globale de sensibilisation et d'éducation menée depuis plusieurs années par Solidaris et son réseau associatif et socio-sanitaire, n'en est que plus essentiel".