Les rayonnements ionisants peuvent être d'origine naturelle (provenant de la terre ou du cosmos) ou artificielle (production électrique des centrales nucléaires, imagerie médicale,...).

Deux facteurs expliquent cette diminution de la dose constatée. Premièrement, l'estimation s'est basée sur des valeurs actualisées pour déterminer le taux de radon moyen en Belgique, notamment la densité moyenne de population. "L'estimation de dose correspondant à l'inhalation de radionucléides naturels a donc diminué", explique l'AFCN dans un communiqué.

Deuxièmement, une diminution de l'estimation de dose provenant des expositions médicales est également enregistrée. "Il s'agit d'une baisse virtuelle qui résulte de la nouvelle nomenclature des CT scans, laquelle permet une évaluation plus détaillée de la dose médicale. En outre, on constate une diminution réelle de la dose au patient due à la modernisation progressive du parc des appareils et au principe d'optimisation", précise l'agence.

Cependant, la surconsommation des techniques d'imagerie médicale persiste, pointe encore l'AFCN. "La consommation d'examens pour lesquels les indications sont réduites est toujours supérieure à ce que l'on est en droit d'attendre. Il est donc nécessaire de poursuivre les efforts fournis en matière de sensibilisation et d'optimisation de la dose médicale afin de continuer à faire baisser la dose à la population."

Les rayonnements ionisants peuvent être d'origine naturelle (provenant de la terre ou du cosmos) ou artificielle (production électrique des centrales nucléaires, imagerie médicale,...). Deux facteurs expliquent cette diminution de la dose constatée. Premièrement, l'estimation s'est basée sur des valeurs actualisées pour déterminer le taux de radon moyen en Belgique, notamment la densité moyenne de population. "L'estimation de dose correspondant à l'inhalation de radionucléides naturels a donc diminué", explique l'AFCN dans un communiqué. Deuxièmement, une diminution de l'estimation de dose provenant des expositions médicales est également enregistrée. "Il s'agit d'une baisse virtuelle qui résulte de la nouvelle nomenclature des CT scans, laquelle permet une évaluation plus détaillée de la dose médicale. En outre, on constate une diminution réelle de la dose au patient due à la modernisation progressive du parc des appareils et au principe d'optimisation", précise l'agence. Cependant, la surconsommation des techniques d'imagerie médicale persiste, pointe encore l'AFCN. "La consommation d'examens pour lesquels les indications sont réduites est toujours supérieure à ce que l'on est en droit d'attendre. Il est donc nécessaire de poursuivre les efforts fournis en matière de sensibilisation et d'optimisation de la dose médicale afin de continuer à faire baisser la dose à la population."