Ainsi, les déclarations de Maggie De Block sur la suppression prochaine de l'AR permettant aux hôpitaux de toucher des primes lors de la fermeture de lits ne sont pas tombées dans l'oreille d'un sourd. Plusieurs gestionnaires ont déjà décidé de repenser leurs activités médicales en regroupant ou fermant des services. Certains cherchent des solutions créatives, lire notre dernière édition, pour réduire l'impact de certaines mesures gouvernementales, telles que l'obligation de réduire la durée de séjour en maternité.

Le Groupe Jolimont e montre particulièrement proactif en annonçant la restructuration prochaine des activités médicales sur plusieursde leurs de ses sites. "Ces réaménagements tiennent compte de l'évolution de la médecine et des attentes des patients ainsi que de la réforme et de la rationalisation annoncées du paysage hospitalier. Ils s'inscrivent également dans la perspective proche qu'offre la construction d'un réseau de soins qui associe les Centres hospitaliers Jolimont et plusieurs partenaires voisins, tels que le CHR Mons-Hainaut et la Clinique Notre-Dame de Grâce à Gosselies."

Les hôpitaux ont également bien entendu la volonté de Maggie De Block de n'avoir plus que 25 réseaux hospitaliers pour l'ensemble du pays. Dans les états-majors des hôpitaux, les alliances se négocient. Récemment, le CHU Ambroise Paré et le CHU Tivoli annonçaient la création du Pôle hospitalier universitaire du Hainaut et plusieurs hôpitaux namurois (le CHRN, le CHRVS et la Clinique de Bouge) ont franchi une étape supplémentaire dans leur fusion "irréversible".

Certains gestionnaires hospitaliers semblent avoir adopté la philosophie fataliste du prince Salina dans Le Guépard (de Visconti) : "Il fallait bien que quelque chose change, pour que tout puisse rester comme avant".

Ainsi, les déclarations de Maggie De Block sur la suppression prochaine de l'AR permettant aux hôpitaux de toucher des primes lors de la fermeture de lits ne sont pas tombées dans l'oreille d'un sourd. Plusieurs gestionnaires ont déjà décidé de repenser leurs activités médicales en regroupant ou fermant des services. Certains cherchent des solutions créatives, lire notre dernière édition, pour réduire l'impact de certaines mesures gouvernementales, telles que l'obligation de réduire la durée de séjour en maternité. Le Groupe Jolimont e montre particulièrement proactif en annonçant la restructuration prochaine des activités médicales sur plusieursde leurs de ses sites. "Ces réaménagements tiennent compte de l'évolution de la médecine et des attentes des patients ainsi que de la réforme et de la rationalisation annoncées du paysage hospitalier. Ils s'inscrivent également dans la perspective proche qu'offre la construction d'un réseau de soins qui associe les Centres hospitaliers Jolimont et plusieurs partenaires voisins, tels que le CHR Mons-Hainaut et la Clinique Notre-Dame de Grâce à Gosselies." Les hôpitaux ont également bien entendu la volonté de Maggie De Block de n'avoir plus que 25 réseaux hospitaliers pour l'ensemble du pays. Dans les états-majors des hôpitaux, les alliances se négocient. Récemment, le CHU Ambroise Paré et le CHU Tivoli annonçaient la création du Pôle hospitalier universitaire du Hainaut et plusieurs hôpitaux namurois (le CHRN, le CHRVS et la Clinique de Bouge) ont franchi une étape supplémentaire dans leur fusion "irréversible". Certains gestionnaires hospitaliers semblent avoir adopté la philosophie fataliste du prince Salina dans Le Guépard (de Visconti) : "Il fallait bien que quelque chose change, pour que tout puisse rester comme avant".