Le photographe belge, qui avait peur de l'eau et des requins, a surmonté sa phobie et photographie depuis des grands blancs, des baleines, dauphins et orques. Des photographies qui souvent mettent en présence des grands mammifères marins, des poissons comme le requin, et l'espèce humaine.

Dans cette mer, une mère : sa compagne japonaise, Leina Sato, plongeuse en apnée qui, enceinte de leur fille à l'époque, côtoie des baleines à bosse ou un banc de diodons. Tortues, raies, squale et même des oiseaux surplombent cet univers amniotique, peuplent ces remarquables photographies aquatiques, remarquables par leur cadrage ou leur instant décisif (la tête d'une baleine qui poursuit le plancton se plaçant dès lors dans la lumière d'un projecteur), prises dans tous les océans du globe et qui, suspendues aux arbres, semblent flotter, encadrées par un immense cadre en bois : la forêt.

Silly Silence invite Jean-Marie Ghislain, jusqu'au 29 septembre. Sentier entre le Chemin des Ronds et le croisement des rues Brunfaut et Haut Port. Infos :www.silly.be et www.facebook.com/Silly-Silence

Le photographe belge, qui avait peur de l'eau et des requins, a surmonté sa phobie et photographie depuis des grands blancs, des baleines, dauphins et orques. Des photographies qui souvent mettent en présence des grands mammifères marins, des poissons comme le requin, et l'espèce humaine.Dans cette mer, une mère : sa compagne japonaise, Leina Sato, plongeuse en apnée qui, enceinte de leur fille à l'époque, côtoie des baleines à bosse ou un banc de diodons. Tortues, raies, squale et même des oiseaux surplombent cet univers amniotique, peuplent ces remarquables photographies aquatiques, remarquables par leur cadrage ou leur instant décisif (la tête d'une baleine qui poursuit le plancton se plaçant dès lors dans la lumière d'un projecteur), prises dans tous les océans du globe et qui, suspendues aux arbres, semblent flotter, encadrées par un immense cadre en bois : la forêt.