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"N otre Service d'évaluation et de contrôle médicaux (SECM) a reçu de nombreuses réactions constructives de la part des médecins qu'il avait contactés", souligne l'Inami. "Certaines explications concernant la facturation des codes d'urgence semblent fort intéressantes, ainsi que les questions qu'elles suscitent.""Actuellement, notre service de contrôle examine toutes ces réactions et explications, en s'abstenant toutefois d'évaluer les exigences particulières des patients et la raison de l'urgence.""Au stade actuel, il est impossible de prédire quelle suite sera donnée aux différentes explications reçues des MG: cela dépendra des explications elles-mêmes et des éléments du dossier. Bien entendu, une analyse sérieuse de toutes ces explications exige du temps. Le SECM s'est engagé à ce que chaque médecin généraliste ayant réagi à son courrier de sensibilisation reçoive une réponse quant à la suite qui lui est réservée.""Nous demandons donc un peu de patience aux médecins généralistes concernés."