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Comble de l'horreur, les hôpitaux et les médecins sont l'une des cibles privilégiées du régime, souligne le JDD. "Viser les hôpitaux a un impact psychologique. Les combattants blessés risquent de ne pas être soignés. C'est pire que d'être tué", explique un intervenant local. C'est pourquoi une poignée de médecins ont décidé de donner aux praticiens locaux trois jours de formation pratique aux soins des blessures et traumatismes de guerre.C'est une première. Membres de l'Union des Organisations Syriennes de Secours Médicaux (UOSSM), ils sont quatre Syriens de France et un Français.