Le service de Radiologie de cet hôpital propose de la radiologie conventionnelle, la mammographie, le cone beam CT, le scanner, l'échographie et l'écho-Doppler ainsi que l'IRM. En parallèle, le CHU UCL Namur pratique également de la radiologie interventionnelle ou thérapeutiques.

"La qualité des soins passe également par la prise en compte des besoins du patient et du personnel soignant. Le design des CT scanners a ainsi été repensé en ce sens : déplacement latéral de la table d'examen, réévalution de sa hauteur minimale pour une meilleure accessibilité, élargissement du diamètre du statif du scanner, plus large couverture anatomique du détecteur (16cm versus 4cm) évitant ainsi les artefacts liés au mouvement du patient, production de l'imagerie plus rapide, etc. En parallèle, des aménagements des locaux ont été réalisés, notamment l'agencement de salles de perfusion pour la pose des accès veineux nécessaires aux examens, permettant d'améliorer le flux de travail", commente l'hôpital. "L'ajout d'un troisième appareil au sein du service de radiologie permet également de répartir l'activité de manière plus efficiente : l'un des scanners est dédié dorénavant à la radiologie interventionnelle, ce qui permet de dégager des plages diagnostiques sur les deux autres appareils et de diminuer les délais, notamment pour les examens oncologiques. La prise en charge des examens pour les patients hospitalisés et pour les urgences est donc facilitée en temps réel."

Le service de radiologie peut dorénavant plus facilement consacrer un appareil ou dédier des plages d'examens aux patients Covid et aux procédures plus lourdes sans répercussions sur les autres examens.

"L'interface utilisateur des commandes des scanners est commune aux trois appareils, facilitant la transition entre les appareils pour les technologues en imagerie médicale (TIM), qui réalisent l'acquisition des examens. Les procédures de reconstruction des images sont dorénavant largement automatisées. L'ergonomie des scanners est également au bénéfice du confort de travail des technologues pour la manutention des patients. Une nouvelle organisation de travail et de gestion des flux a été mise en place", précise le chef de service, le Dr Frédéric Alexis. "Outre l'ergonomie commune, les trois appareils récemment installés disposent tous de la même chaîne de production et de reconstruction des images et notamment de l'intelligence artificielle "Deep learning reconstruction", qui perfectionnent la qualité des images produites, et permettent en outre de diminuer la dose de rayons nécessaires à l'acquisition des examens à qualité d'interprétation améliorée."

Un partenariat scientifique accompagne le projet d'installation : collecte des données techniques des examens, amélioration des paramètres d'acquisition et de radioprotection, études comparatives entre appareils, élaboration de protocoles d'examens par pathologie, travaux scientifiques pour des étudiants en sciences biomédicales, etc.

Le service de Radiologie de cet hôpital propose de la radiologie conventionnelle, la mammographie, le cone beam CT, le scanner, l'échographie et l'écho-Doppler ainsi que l'IRM. En parallèle, le CHU UCL Namur pratique également de la radiologie interventionnelle ou thérapeutiques."La qualité des soins passe également par la prise en compte des besoins du patient et du personnel soignant. Le design des CT scanners a ainsi été repensé en ce sens : déplacement latéral de la table d'examen, réévalution de sa hauteur minimale pour une meilleure accessibilité, élargissement du diamètre du statif du scanner, plus large couverture anatomique du détecteur (16cm versus 4cm) évitant ainsi les artefacts liés au mouvement du patient, production de l'imagerie plus rapide, etc. En parallèle, des aménagements des locaux ont été réalisés, notamment l'agencement de salles de perfusion pour la pose des accès veineux nécessaires aux examens, permettant d'améliorer le flux de travail", commente l'hôpital. "L'ajout d'un troisième appareil au sein du service de radiologie permet également de répartir l'activité de manière plus efficiente : l'un des scanners est dédié dorénavant à la radiologie interventionnelle, ce qui permet de dégager des plages diagnostiques sur les deux autres appareils et de diminuer les délais, notamment pour les examens oncologiques. La prise en charge des examens pour les patients hospitalisés et pour les urgences est donc facilitée en temps réel." Le service de radiologie peut dorénavant plus facilement consacrer un appareil ou dédier des plages d'examens aux patients Covid et aux procédures plus lourdes sans répercussions sur les autres examens."L'interface utilisateur des commandes des scanners est commune aux trois appareils, facilitant la transition entre les appareils pour les technologues en imagerie médicale (TIM), qui réalisent l'acquisition des examens. Les procédures de reconstruction des images sont dorénavant largement automatisées. L'ergonomie des scanners est également au bénéfice du confort de travail des technologues pour la manutention des patients. Une nouvelle organisation de travail et de gestion des flux a été mise en place", précise le chef de service, le Dr Frédéric Alexis. "Outre l'ergonomie commune, les trois appareils récemment installés disposent tous de la même chaîne de production et de reconstruction des images et notamment de l'intelligence artificielle "Deep learning reconstruction", qui perfectionnent la qualité des images produites, et permettent en outre de diminuer la dose de rayons nécessaires à l'acquisition des examens à qualité d'interprétation améliorée."Un partenariat scientifique accompagne le projet d'installation : collecte des données techniques des examens, amélioration des paramètres d'acquisition et de radioprotection, études comparatives entre appareils, élaboration de protocoles d'examens par pathologie, travaux scientifiques pour des étudiants en sciences biomédicales, etc.