Ces fraudeurs utilisent le hameçonnage, ou phishing en anglais. Ils envoient un e-mail en se faisant passer pour un employé de la MC, sur un modèle ressemblant aux notifications de la mutualité, avec les logos officiels. Il est alors demandé aux affiliés de mettre à jour leurs informations, comme un mot de passe ou des coordonnées bancaires, via un lien menant à de faux sites internet.

La MC rappelle qu'elle ne demande jamais pareille information par e-mail, SMS ou téléphone et demande aux affiliés de faire preuve de prudence en cas de réception de ce type de message.

Dans le cas de l'e-mail, il est demandé de bien vérifier l'adresse du destinateur qui ne se termine que par "@mc.be", "@info.mc.be", "@doccle.be" ou "@cm.be". Il est également conseillé de passer sa souris sur le lien adressé dans l'e-mail afin de voir l'adresse. Si celle-ci semble suspecte, il est rappelé de ne pas cliquer et de transférer le message à la police via l'adresse suspect@safeonweb.be.

Si des données ont été transmises malgré tout, il est recommandé de changer les mots de passe des plateformes concernées et d'utiliser la vérification en deux étapes dès que possible.

Source : Belga.

Ces fraudeurs utilisent le hameçonnage, ou phishing en anglais. Ils envoient un e-mail en se faisant passer pour un employé de la MC, sur un modèle ressemblant aux notifications de la mutualité, avec les logos officiels. Il est alors demandé aux affiliés de mettre à jour leurs informations, comme un mot de passe ou des coordonnées bancaires, via un lien menant à de faux sites internet.La MC rappelle qu'elle ne demande jamais pareille information par e-mail, SMS ou téléphone et demande aux affiliés de faire preuve de prudence en cas de réception de ce type de message.Dans le cas de l'e-mail, il est demandé de bien vérifier l'adresse du destinateur qui ne se termine que par "@mc.be", "@info.mc.be", "@doccle.be" ou "@cm.be". Il est également conseillé de passer sa souris sur le lien adressé dans l'e-mail afin de voir l'adresse. Si celle-ci semble suspecte, il est rappelé de ne pas cliquer et de transférer le message à la police via l'adresse suspect@safeonweb.be.Si des données ont été transmises malgré tout, il est recommandé de changer les mots de passe des plateformes concernées et d'utiliser la vérification en deux étapes dès que possible.Source : Belga.