Les vaccins contre les différentes maladies infantiles, disponibles dans les pharmacies, sont généralement prêts à l'emploi et vendus avec une seringue. Mais on ne sait pas encore si ce sera le cas pour celui contre le coronavirus, quand il aura été développé.

"Nous nous attendons à ce que des flacons soient commercialisées avec dix doses", indique Ian Lindsley d'EBN, une organisation qui défend les intérêts des secouristes européens. "Cela signifie donc qu'il faudra se procurer des seringues et des aiguilles, mais des réserves ne sont pas du tout disponibles."

La ministre fédérale de la Santé, Maggie De Block (Open Vld), n'est cependant pas inquiète. "Cela n'a aucun sens de commander en masse des seringues et des aiguilles maintenant, alors qu'on ne sait pas encore quel vaccin sera proposé", réagit son porte-parole Peter Poulussen.

Une éventuelle commande se fera dans le cadre d'une coopération européenne.

Les vaccins contre les différentes maladies infantiles, disponibles dans les pharmacies, sont généralement prêts à l'emploi et vendus avec une seringue. Mais on ne sait pas encore si ce sera le cas pour celui contre le coronavirus, quand il aura été développé. "Nous nous attendons à ce que des flacons soient commercialisées avec dix doses", indique Ian Lindsley d'EBN, une organisation qui défend les intérêts des secouristes européens. "Cela signifie donc qu'il faudra se procurer des seringues et des aiguilles, mais des réserves ne sont pas du tout disponibles." La ministre fédérale de la Santé, Maggie De Block (Open Vld), n'est cependant pas inquiète. "Cela n'a aucun sens de commander en masse des seringues et des aiguilles maintenant, alors qu'on ne sait pas encore quel vaccin sera proposé", réagit son porte-parole Peter Poulussen. Une éventuelle commande se fera dans le cadre d'une coopération européenne.