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L'examen comporte un total de 120 questions à choix multiples réparties entre le matin et l'après-midi en deux séries de 60 questions portant sur les huit matières évaluées : quatre matières scientifiques (chimie, biologie, physique, mathématiques), d'une part, et quatre matières relatives à la communication et à l'analyse critique de l'information (raisonnement, communication, éthique, empathie), d'autre part.Pour recevoir une attestation de réussite, il faut obtenir une moyenne d'au moins 10/20 pour chacune des deux parties ainsi qu'un minimum de 8/20 pour chacune des huit matières.4.025 personnes s'étaient lancées dans l'aventure. Pour rester dans les chiffres, on dénombre deux tiers de femmes pour un tiers d'hommes. Environ 77 % des candidates et candidats présentaient l'examen pour la première fois.Après délibération, 787 candidates et candidats ont été proclamés lauréats par le Jury, soit un taux de 19,55 %. 181 d'entre eux sont des " non-résidents ", soit 23 % des lauréats. Toutefois, pour la dentisterie, leur nombre étant supérieur à 30% des réussites, il a été nécessaire de procéder au classement prévu pour respecter le contingentement fixé pour cette filière. 20 lauréats non-résidents sur les 25 candidats ont ainsi été retenus. " Il faudra attendre les résultats de l'épreuve du 12 septembre prochain pour pouvoir tirer des conclusions mais on constate, pour aout 2020, un taux de réussite qui reste dans la moyenne des éditions précédentes malgré les conditions particulières liées à l'épidémie de coronavirus ", constate Laurent Despy, administrateur de l'Académie de recherche et d'enseignement supérieur (Ares).Pour ceux n'ayant pas réussi, la seconde épreuve aura lieu le samedi 12 septembre 2020, selon les mêmes modalités que le 28 aout c'est-à-dire en présentiel et de manière décentralisée. Concrètement, cet examen sera organisé au sein des universités qui proposent un 1er cycle en médecine et/ou dentisterie à savoir l'ULiège, l'UCLouvain, l'ULB, l'UMons et l'UNamur.