Une équipe internationale établit une carte planétaire des zones où les personnes risquent le plus d'être mordues par un serpent venimeux. Elle révèle notamment qu'environ 93 millions d'individus dans le monde seraient exposés au risque d'envenimation grave et risqueraient davantage de mourir en raison du faible accès aux médicaments anti-venin.
Les patient dont l'immunité est affaible pendant la lutte contre une tumeur risquent, trois fois plus que les autres, de réactiver le virus du zona, latent dans l'organisme. Le Pr Arjen Nikkels sensibilise sur l'importance d'une prise en charge rapide du zona.