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Telle est la conclusion d'une équipe de chercheurs australiens qui a examiné les caractéristiques de plus de 300.000 participants suivis pendant 14 ans et issus de la base de données UK Biobank. Ils ont utilisé une méthode d'analyse très fiable, la randomisation mendeléenne, qui permet de minimiser le risque de biais. Cette nouvelle étude confirme un lien de causalité entre le déficit en vitamine D et la mortalité. L'analyse montre que le risque de décès, toutes causes confondues, diminue fortement avec l'augmentation des concentrations de vitamine D jusqu'à 50 nmol/L (=20 ng/ml). Ainsi le risque de mortalité globale augmente de 25% pour les participants ayant un taux de vitamine D de 25 nmol/L en comparaison avec un taux de 50 nmol/L. Une association significative est également mise en évidence pour la mortalité due au cancer, aux maladies cardiovasculaires et aux maladies respiratoires. Les auteurs préconisent de mettre des mesures en place afin d'assurer un taux de vitamine D supérieur à 50 nmol/L (20 ng/ml) afin de réduire le risque de décès prématuré associé au déficit en vitamine D. Concernant la prise de suppléments de vitamine D destinés à corriger ou à éviter le déficit, ils déconseillent, sur base de la littérature récente, la prise intermittente de hautes doses de vitamine D. En effet, ce mode d'administration en bolus avec la synthèse et le catabolisme des enzymes qui régulent l'activité de la vitamine D. VISTA-D3 répond parfaitement à ces critères, à savoir un dosage physiologique et quotidien avec un atout supplémentaire, l'administration sublinguale. Le petit comprimé, spécialement développé pour fondre sous la langue, offre la meilleure absorption possible chez tous les patients, indépendamment de l'état de la muqueuse gastro-intestinale. VISTA-D3 est disponible en 6 dosages de 400 à 3.000 iu par jour.