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Patrick Van Leer a toujours voulu être médecin. Dès son plus jeune âge, il joue au 'docteur' avec son frère. Comme si il était prédestiné à endosser la blouse médicale. Peut-être est-ce dû à cet oncle, chirurgien cardiaque, à qui il vouait une admiration sans borne. Toujours est-il que c'est justement vers la chirurgie que Patrick Van Leer se dirige. Tenté d'abord par la chirurgie plastique, il apprécie tellement son premier stage en urologie que c'est finalement vers cette discipline qu'il s'oriente. "Le grand charme de l'urologie, c'est la variété qui en découle. Il n'y a pas uniquement un volet chirurgical, ni uniquement un volet médical. L'urologue peut soigner lui-même ses patients, qu'il s'agisse d'un traitement médical ou chirurgical. De plus, l'urologue traite des personnes de tout âge, des enfants, des adolescents, des adultes, des femmes, des hommes. C'est ce qui fait la richesse de cette spécialité et je ne regrette pas mon choix", confie le médecin. Au-delà de la médecine, Patrick Van Leer est un mordu de sport. Vers 15 ans, il se met au hockey, sport qu'il exerce encore aujourd'hui. Ce qu'il aime particulièrement, c'est se dépenser, s'amuser, relever des challenges. "Le basket, le foot, ou encore le volley sont des activités qui ne m'ont jamais attiré. À croire que ce qui me plaît surtout, c'est de courir derrière une petite balle et non pas derrière un ballon!Ce que j'apprécie aussi c'est le côté social de ce sport d'équipe. On tisse des liens de profonde amitié lorsqu'on joue depuis des années avec les mêmes co-équipiers", précise le Dr Van Leer. "Courir, c'est bien, mais le sens de la précision et la dextérité sont essentiels pour bien jouer, un peu comme pour être un bon chirurgien", ajoute-t-il avec une pointe d'humour. Il y a quelques années, lors de vacances en famille en Espagne, le hockeyeur découvre le padel. Un sport qui a pris une place prédominante dans la vie de l'urologue. "L'intérêt du padel, c'est que l'on apprend et que l'on s'amuse très vite! C'est très ludique.Depuis cette découverte, je joue au minimum deux fois par semaine. C'est devenu une des clés essentielles de mon équilibre. Quand je joue, j'oublie tout. Je me dépense et je s'amuse, simplement! Les parties se font toujours à quatre, ce qui permet d'apprendre à se gérer et à gérer son partenaire. Finalement c'est un sport très complet," raconte l'adepte de ce nouveau sport. "J'encouragerais tout le monde à se mettre au padel. Ludique et conviviale, cette activité est accessible à tous: hockeyeurs ou anciens hockeyeurs, joueurs ou anciens joueurs de tennis, de squash, débutants en sports de raquettes, sportifs motivés par la performance, juniors, seniors, etc. Que l'on perde ou que l'on gagne, on passe toujours un excellent moment. On rit, on s'amuse, on se défoule! Et surtout on s'évade de tous les petits tracas de la vie quotidienne", explique le Dr Van Leer, qui veut convaincre de nouvelles personnes de tenter l'expérience du padel. "Un des atouts du padel, c'est qu'on peut le pratiquer n'importe où. On ne doit pas nécessairement être membre d'un club. Une application mobile permet de louer un terrain avec ses partenaires habituels ou de compléter une équipe. Un peu comme aurestaurant, on visualise les terrains disponibles et on réserve celui qui nous convient. C'est une activité très accessible", conclut le mordu de padel.