Sur une période de suivi de 48 semaines, l'analyse groupée des données issues des études ATLAS, FLAIR et ATLAS-2M montre que des effets secondaires neuropsychiatriques ont été rapportés par 9% des patients. Les plus fréquemment évoqués sont les céphalées (3%) et les vertiges (2%).

La majorité de ces effets secondaires neuropsychiatriques étaient de sévérité faible à modérée. On dénombre très peu d'effets secondaires de grade 3 (< 1%) et aucun de stade plus sévère. Les arrêts de traitement en liaison avec ce type d'effet secondaire étaient anecdotiques (< 1%). Les effets secondaires neuropsychiatriques les plus courants sont survenus lors de la phase initiale du traitement, avec une incidence plus faible par la suite et ils avaient tendance à s'amenuiser et/ou disparaître au cours du suivi de l'étude. Au final, un profil globalement rassurant pour cette nouvelle et prometteuse option pour le traitement de maintenance de l'infection par le VIH.

Réf: Elliot E. et al. Poster P168, HIV Glasgow 2022.

Sur une période de suivi de 48 semaines, l'analyse groupée des données issues des études ATLAS, FLAIR et ATLAS-2M montre que des effets secondaires neuropsychiatriques ont été rapportés par 9% des patients. Les plus fréquemment évoqués sont les céphalées (3%) et les vertiges (2%).La majorité de ces effets secondaires neuropsychiatriques étaient de sévérité faible à modérée. On dénombre très peu d'effets secondaires de grade 3 (< 1%) et aucun de stade plus sévère. Les arrêts de traitement en liaison avec ce type d'effet secondaire étaient anecdotiques (< 1%). Les effets secondaires neuropsychiatriques les plus courants sont survenus lors de la phase initiale du traitement, avec une incidence plus faible par la suite et ils avaient tendance à s'amenuiser et/ou disparaître au cours du suivi de l'étude. Au final, un profil globalement rassurant pour cette nouvelle et prometteuse option pour le traitement de maintenance de l'infection par le VIH.Réf: Elliot E. et al. Poster P168, HIV Glasgow 2022.