Si deux récentes études observationnelles italiennes confirment bien l'efficacité virologique d'un switch vers une thérapie duale associant dolutégravir et lamivudine, le taux d'échecs virologiques constatés étant très bas, elles incitent cependant à une certaine prudence lors de la prise de décision de modifier le schéma thérapeutique chez des patients présentant des antécédents d'échecs virologiques ou de mutations de résistance à certains antirétroviraux.