Tout sur Chloé Orkin

Une analyse approfondie des trois principales études cliniques randomisées ayant mené à l'homologation du traitement injectable associant cabotégravir et rilpivirine a permis de mettre à jour trois facteurs prédictifs d'un échec virologique. Déjà présents avant l'initiation du traitement, ces facteurs pourraient donc être utilisés afin d'identifier les personnes vivant avec le VIH qui courent un risque plus élevé d'échec de cette combinaison.

Une analyse approfondie des trois principales études cliniques randomisées ayant mené à l'homologation du traitement injectable associant cabotégravir et rilpivirine a permis de mettre à jour trois facteurs prédictifs d'un échec virologique. Déjà présents avant l'initiation du traitement, ces facteurs pourraient donc être utilisés afin d'identifier les personnes vivant avec le VIH qui courent un risque plus élevé d'échec de cette combinaison.

Lors de l'édition 2021 virtuelle de la CROI, Chloé Orkin (Queen Mary University of London) a présenté les résultats d'analyses complémentaires des études GEMINI 1&2 portant, cette fois, sur différents sous-groupes en fonction de caractéristiques initiales démographiques ou liées à l'affection, des résultats qui montrent une efficacité virologique élevée et persistante à 3 ans sur ces différents sous-groupes.

Le développement de traitements antirétroviraux ne nécessitant pas de prise orale quotidienne aura été un des thèmes centraux du congrès 2020 HIV-Glasgow. Plusieurs présentations intéressantes ont porté sur le schéma injectable actuellement le plus avancé, l'association cabotégravir/rilpivirine. Le Pr Chloé Orkin (Queen Mary's University Hospital, London) a présenté les résultats d'une phase d'extension de l'étude FLAIR montrant que l'association cabotégravir/rilpivirine était efficace que les patients aient initié le schéma injectable directement ou qu'ils l'aient pris par voie orale durant 4 semaines avant d'entamer les injections.

Clinical Update

Article du magazine

La prévalence de l'asthme est toujours en augmentation dans notre pays, et tout particulièrement chez les enfants au nord du sillon Sambre-et-Meuse - la faute en revient sans doute à une densité de population et à un degré de pollution atmosphérique plus élevés. Dans ce contexte, plus que jamais, le choix d'un traitement adapté et la garantie d'un bon suivi sont d'une importance majeure.