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"Pour sauver Victor d'une mort certaine et pour tous ceux dans son cas, ce que j'ai fait: négocier à la baisse le prix d'un médicament. Je le referais", a tweeté l'ancienne ministre de la Santé.Le Soliris avait fait la une de l'actualité quand, en 2013, les parents d'un enfant de 7 ans atteint du Syndrome hémolytique et urémique atypique avaient fait savoir qu'ils n'avaient pas les moyens de payer le médicament, dont le coût mensuel atteint 18.000 euros.Après de difficiles négociations, la ministre de la Santé de l'époque avait finalement conclu un accord avec l'entreprise pharmaceutique afin de pouvoir rembourser le médicament. Les clauses du contrat étaient cependant restées secrètes jusqu'à aujourd'hui.D'après le contrat confidentiel que la rédaction du quotidien flamand De Morgen a en sa possession, il apparaît que Laurette Onkelinx a fait de très importantes concessions, notamment en matière de prix.Toutefois, à relire le dossier (lire rétroactes, colonne de droite), la vérité n'est pas aussi prosaïque...