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La figure marquante du parti socialiste flamand répondait aux questions des députées Frieda Gijbels (N-VA) et Sophie Rohonyi (DéFI) à la Chambre. Elles dénonçaient l'augmentation de la violence verbale et physique contre le personnel médical. Le ministre était tout à fait d'accord. "On n'est jamais assez sévères à ce sujet ", a-t-il déclaré fermement.Vandenbroucke a également expliqué qu'un groupe de travail interministériel avait été créé pour traiter la question de la violence contre les intervenants médicaux. Celui-ci fait régulièrement le point avec, entre autres, " Médecins en difficulté ", une initiative de l'Ordre des médecins et d'autres acteurs sur le terrain.Il a également souligné que les signalements de violence contre les professionnels de la santé sont suivis au niveau de l'employeur ou de la profession. Il n'existe donc pas de base de données centrale concernant les agressions. Vandenbroucke a également insisté sur le fait que les victimes de violence doivent signaler cela à tout moment. Porter plainte auprès de la police est important, a-t-il dit. De plus, l'excellence du parti Vooruit a annoncé qu'une campagne de sensibilisation serait bientôt organisée.