Le ministre fédéral de la Santé publique Frank Vandenbroucke (Vooruit) pense et espère que son parti pourra influencer les négociations gouvernementales grâce à son résultat électoral, a-t-il déclaré à l'agence Belga dimanche soir.
"C'était notre intention avec Vooruit de pouvoir peser sur la politique à mener, tant en Flandre qu'au niveau fédéral", a-t-il expliqué. "Nous avons mené une bonne campagne et nous avons entendu beaucoup d'inquiétudes de la part de la population. Je pense qu'avec ce résultat, nous pouvons peser efficacement et nous sommes prêts à nous asseoir autour de la table avec quiconque souhaite négocier sérieusement."
Le ministre souligne que la santé, le pouvoir d'achat, l'éducation et les transports publics sont des thèmes importants pour Vooruit dans le cadre des négociations. "Quand toute la poussière sera retombée, nous verrons comment nous pouvons nous positionner au mieux." Vandenbroucke estime par ailleurs positif que la N-VA soit le parti flamand le plus puissant, et non le Vlaams Belang.
Vooruit, le seul parti qui gagne vraiment des points
Côté flamand, Vooruit est le seul parti de la Vivaldi qui sort grandi de ces élections. Pour Pablo Annys, tête de liste Vooruit pour le Parlement flamand en Flandre occidentale, les socialistes pourraient envisager une alliance avec la N-VA et le CD&V, mais ce sera aux nationalistes de prendre l'initiative. Dans quasi toutes les provinces, le parti fait mieux qu'en 2019, également en Flandre occidentale. "Cela fait longtemps que l'on n'avait pas gagné, et on peut remercier pour cela Melissa Depraetere", note Pablo Annys. "Nous avons là une figure de proue, qui ne peut que renforcer notre parti en vue de l'avenir."
Caroline Gennez, ministre Vooruit dans le gouvernement Vivaldi, a indiqué souhaiter une participation de sa formation au gouvernement flamand. "Nous devons faire en sorte que notre enseignement retrouve une qualité au top, que les transports en commun fonctionnent et que l'on investisse dans les soins."
"C'était notre intention avec Vooruit de pouvoir peser sur la politique à mener, tant en Flandre qu'au niveau fédéral", a-t-il expliqué. "Nous avons mené une bonne campagne et nous avons entendu beaucoup d'inquiétudes de la part de la population. Je pense qu'avec ce résultat, nous pouvons peser efficacement et nous sommes prêts à nous asseoir autour de la table avec quiconque souhaite négocier sérieusement."Le ministre souligne que la santé, le pouvoir d'achat, l'éducation et les transports publics sont des thèmes importants pour Vooruit dans le cadre des négociations. "Quand toute la poussière sera retombée, nous verrons comment nous pouvons nous positionner au mieux." Vandenbroucke estime par ailleurs positif que la N-VA soit le parti flamand le plus puissant, et non le Vlaams Belang.Côté flamand, Vooruit est le seul parti de la Vivaldi qui sort grandi de ces élections. Pour Pablo Annys, tête de liste Vooruit pour le Parlement flamand en Flandre occidentale, les socialistes pourraient envisager une alliance avec la N-VA et le CD&V, mais ce sera aux nationalistes de prendre l'initiative. Dans quasi toutes les provinces, le parti fait mieux qu'en 2019, également en Flandre occidentale. "Cela fait longtemps que l'on n'avait pas gagné, et on peut remercier pour cela Melissa Depraetere", note Pablo Annys. "Nous avons là une figure de proue, qui ne peut que renforcer notre parti en vue de l'avenir."Caroline Gennez, ministre Vooruit dans le gouvernement Vivaldi, a indiqué souhaiter une participation de sa formation au gouvernement flamand. "Nous devons faire en sorte que notre enseignement retrouve une qualité au top, que les transports en commun fonctionnent et que l'on investisse dans les soins."