Dans cette étude prospective multicentrique (16 hôpitaux en Angleterre), on a évalué si, en cas de cancer pulmonaire non à petites cellules nouvellement diagnostiqué, une IRM corps entier ne peut pas remplacer le bilan classique, qui implique plusieurs examens, et si cela permettrait de gagner du temps et de l'argent pour la recherche de métastases.