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Lors de cette étude multicentrique, 1 282 femmes préménopausées (âge < 45 ans) atteintes d'un cancer du sein positif aux récepteurs d'oestrogènes et présentant une fonction ovarienne avérée, après résection chirurgicale, ont été traitées, de manière randomisée, soit pendant cinq ans par tamoxifène seul (groupe " TAM seul " = 647 patientes), soit pendant cinq ans par tamoxifène en combinaison, pendant deux ans, avec une suppression de la fonction ovarienne sous forme d'administration mensuelle de goséréline (groupe " TAM + OFS " = 635 patientes).

La mortalité globale après un cancer du sein est plus élevée chez les survivantes d'un cancer infantile que chez les témoins. Les survivantes sont également beaucoup plus susceptibles de décéder d'autres causes, notamment d'autres cancers et de maladies cardiovasculaires ou pulmonaires.

Dans une analyse rétrospective monocentrique les auteurs de l'article ont constaté que la présence de tératome dans les tumeurs germinales non séminomateuses avancées était associée à un risque plus élevé de décès dus à la maladie.

Environ un tiers des patients ayant repris le traitement par un inhibiteur du point de contrôle immunitaire après une amélioration de la diarrhée et de la colite à médiation immunitaire ont présenté une réapparition de l'effet indésirable.

Le suivi à long terme de l'étude de phase I KEYNOTE-001 montre que la monothérapie au pembrolizumab est associée à une survie globale estimée à 23,2% pour les patients naïfs de traitement et à 15,5% pour les patients précédemment traités atteints d'un cancer du poumon non à petites cellules localement avancé / métastatique.

Un score PET - tomographie par émission de positrons - de 5 après chimiothérapie est associé à de moins bons résultats chez les patients atteints d'un lymphome de Hodgkin au stade précoce.

Des doses élevées d'anthracyclines ont été associées à un risque accru de cancer du sein chez les femmes survivantes d'un cancer infantile, cette association étant indépendante des mutations dans les gènes de risque de cancer.

Il n'y a aucun bénéfice en termes de survie sans progression de la chimiothérapie post-chirurgicale intrapéritonéale (IP) par rapport à la chimiothérapie intraveineuse (IV), chacune combiné avec du bevacizumab, chez les patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire avancé récemment diagnostiqué.

La lymphoscintigraphie préopératoire n'engendre pas un nombre accru de ganglions lymphatiques sentinelles positifs à l'histologie lors de la biopsie des ganglions sentinelles chez les femmes atteintes d'un cancer du sein au stade précoce.

Une équipe du Dana-Farber Cancer Institute a développé un modèle permettant de prédire le risque de progression d'une macroglobulinémie de Waldenström asymptomatique vers une maladie symptomatique nécessitant un traitement. Les taux d'immunoglobuline M, d'infiltration lymphoplasmocytaire de la moelle osseuse, de β2-microglobuline et d'albumine étaient des prédicteurs indépendants significatifs de l'évolution de la maladie.

L'étude de phase III AUGMENT montre que l'addition de lénalidomide au rituximab prolonge significativement la survie sans progression chez les patients atteints de lymphome indolent récidivant ou réfractaire.

Les patients pédiatriques présentant une perte auditive neurosensorielle sévère associée au traitement de tumeurs cérébrales embryonnaires rencontrent de plus en plus de difficultés de lecture.

Les traitements stratifiés par MRD (Minimal Residual Disease) ont amélioré les résultats chez les enfants atteints de ALL hypodiploïde. La transplantation allogénique n'a pas significativement amélioré les résultats, en particulier chez les patients dont le statut de MRD était défavorable après induction.

Une analyse de l'étude Childhood Cancer Survivor Study a montré que les doses de radiothérapie associées au volume cardiaque exposé au rayonnement et au traitement par une anthracycline étaient associées à un risque accru de maladie cardiaque d'apparition tardive chez les survivants d'un cancer de l'enfant.

La consommation chronique d'opiacés varie d'un cancer à l'autre chez les survivants âgés atteints d'un cancer. Six ans après le diagnostic, les survivants ne sont pas plus susceptibles d'être des utilisateurs chroniques d'opiacés que les témoins sans antécédents de cancer, ce qui reflète en partie l'augmentation de l'utilisation chronique d'opiacés chez les patients du groupe témoin.

Les perceptions du risque d'infertilité sont souvent discordantes par rapport à l'état de fertilité évalué en laboratoire chez les survivants adultes d'un cancer de l'enfant.

Le risque de rechute et la perte d'espérance de vie sont faibles chez les jeunes patients recevant un traitement moderne pour le lymphome de Hodgkin classique. Les résultats sont particulièrement bons chez les patients présentant une survie sans événement (EFS) pendant 24 mois.

Les modifications apportées au traitement du médulloblastome au cours de trois décennies allongent la survie mais augmentent le risque de néoplasmes ultérieurs et d'affections chroniques sévères.

Les survivants d'un cancer infantile courent un risque accru de développer une thromboembolie veineuse tardive. Plusieurs facteurs augmentent ce risque. La thromboembolie veineuse tardive est associée à un risque accru de mortalité chez ces patients.

Le traitement initial par corticoïdes est associé à une moindre efficacité des inhibiteurs de PD-1 ou de PD-L1 chez les patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules (NSCLC).