Dans une étude britannique multicentrique, randomisée, en double aveugle et contrôlée par placebo, de phase 2, 140 femmes souffrant d'un carcinome mammaire inopérable métastasé ou localement avancé, ayant récidivé après un traitement par un inhibiteur de l'aromatase, ont été traitées soit par fulvestrant plus capivasertib (n=69), soit par fulvestrant plus un placebo (n=71).