...

Le recours aux inhibiteurs de protéine kinase, aux anticorps monoclonaux et à l'interféron-α s'avère efficace, ce dont témoigne une prolongation de la survie. Ainsi, alors que 26 % des malades ont survécu plus d'un an entre 1973 et 1980, ce pourcentage est grimpé à 36 % en 2006-2008, avec même à cette date un taux de survie de 22 % à 2 ans. (référence : Patil S et al. J Urol. 2012;188:2095)