Leslie est une jeune femme de 23 ans très active, sportive et qui suit des études supérieures exigeantes. Elle a développé un diabète de type 1 à 16 ans, nécessitant 4 injections d'insuline par jour. En plus de 2 ou 3 séances de fitness par semaine, elle joue au hockey en compétition avec un entraînement et un match par semaine. Cette patiente nécessite donc un suivi très régulier de sa glycémie au vu de ses activités. Toutefois, elle ne tient pas non plus à ce que cela soit un fardeau. Elle a pu utiliser le FreeStyle Libre depuis environ 1 an dans de nombreuses situations, aussi bien lors de sa vie quotidienne, lors de la pratique de son sport favori ou à la piscine, mais aussi en blocus ou en vacances. Pour elle, cet appareil a changé sa vie.

Vivre avec son diabète

Elle le transporte partout avec elle et lorsqu'elle a un doute, elle se scanne. Elle dit éprouver une vraie libération en ne devant plus utiliser les aiguilles, les désinfectants et les tigettes, elle qui éprouvait de la gêne à les déballer en cours ou à la salle de sport. Pour Leslie, le plus pratique est cet agenda électronique dans lequel s'inscrivent automatiquement ses résultats. Elle avoue: "Souvent, j'oubliais de les inscrire, ce qui ne faisait pas plaisir à mon diabétologue. Pour éviter des remarques, je les remplissais en inventant des chiffres... Avec cet appareil, tout s'inscrit automatiquement. De plus, je ne dois pas réellement interrompre ce que je suis en train de faire puisque je peux me scanner même lorsque je fais du sport. Moralité: je me contrôle beaucoup plus fréquemment."

L'autre aspect relevé par cette jeune femme est l'importance de la prise en main de sa propre maladie. L'appareil lui permet d'interpréter elle-même les résultats et d'anticiper ce qu'il y a lieu de faire grâce à la flèche qui marque la tendance de la glycémie. "Cette fonctionnalité est importante pour moi, car avec les autres appareils, je paniquais si je voyais ma glycémie très basse à un moment donné ou au contraire qu'elle ne descendait pas après une injection d'insuline. L'indication visuelle me permet de mieux gérer quand je dois absorber du sucre ou quand j'ai besoin d'insuline. Ainsi, grâce à cela, je peux mieux anticiper et par conséquent j'ai moins de crises hypoglycémiques et moins de périodes d'hyperglycémie", explique-t-elle.

Une réappropriation

Les intervenants de terrain, le Prof. Frank Nobels et Rebecca Everaert de l'OLV Aalst ainsi que le Prof. Ides Michel Colin et Corinne Henry du CHR Mons-Hainaut, confirment également le témoignage de Leslie dans leur pratique quotidienne. Pour tous ces intervenants, la facilité offerte par ce type d'appareils est réelle, mais cela demande aussi un apprentissage et une éducation du patient à bien placer le biosenseur et à bien utiliser l'appareil. De nouvelles habitudes doivent être prises, comme éviter les saunas et hammams ou ne pas rester dans l'eau plus d'une demi-heure. À part cela, les intervenants, et Leslie elle-même, n'ont constaté que très peu de décollage intempestif du biosenseur. Tous notent cependant qu'à chaque changement de biosenseur, tous les 14 jours, les résultats peuvent être légèrement perturbés au cours des 24 premières heures.

Ils s'accordent pour affirmer qu'il s'agit d'un progrès majeur pour les patients, pour leur prise en charge et leur suivi ainsi que pour les équipes soignantes, car les patients sont capables de s'approprier leur maladie et sa gestion.

Leslie est une jeune femme de 23 ans très active, sportive et qui suit des études supérieures exigeantes. Elle a développé un diabète de type 1 à 16 ans, nécessitant 4 injections d'insuline par jour. En plus de 2 ou 3 séances de fitness par semaine, elle joue au hockey en compétition avec un entraînement et un match par semaine. Cette patiente nécessite donc un suivi très régulier de sa glycémie au vu de ses activités. Toutefois, elle ne tient pas non plus à ce que cela soit un fardeau. Elle a pu utiliser le FreeStyle Libre depuis environ 1 an dans de nombreuses situations, aussi bien lors de sa vie quotidienne, lors de la pratique de son sport favori ou à la piscine, mais aussi en blocus ou en vacances. Pour elle, cet appareil a changé sa vie. Vivre avec son diabèteElle le transporte partout avec elle et lorsqu'elle a un doute, elle se scanne. Elle dit éprouver une vraie libération en ne devant plus utiliser les aiguilles, les désinfectants et les tigettes, elle qui éprouvait de la gêne à les déballer en cours ou à la salle de sport. Pour Leslie, le plus pratique est cet agenda électronique dans lequel s'inscrivent automatiquement ses résultats. Elle avoue: "Souvent, j'oubliais de les inscrire, ce qui ne faisait pas plaisir à mon diabétologue. Pour éviter des remarques, je les remplissais en inventant des chiffres... Avec cet appareil, tout s'inscrit automatiquement. De plus, je ne dois pas réellement interrompre ce que je suis en train de faire puisque je peux me scanner même lorsque je fais du sport. Moralité: je me contrôle beaucoup plus fréquemment."L'autre aspect relevé par cette jeune femme est l'importance de la prise en main de sa propre maladie. L'appareil lui permet d'interpréter elle-même les résultats et d'anticiper ce qu'il y a lieu de faire grâce à la flèche qui marque la tendance de la glycémie. "Cette fonctionnalité est importante pour moi, car avec les autres appareils, je paniquais si je voyais ma glycémie très basse à un moment donné ou au contraire qu'elle ne descendait pas après une injection d'insuline. L'indication visuelle me permet de mieux gérer quand je dois absorber du sucre ou quand j'ai besoin d'insuline. Ainsi, grâce à cela, je peux mieux anticiper et par conséquent j'ai moins de crises hypoglycémiques et moins de périodes d'hyperglycémie", explique-t-elle.Une réappropriationLes intervenants de terrain, le Prof. Frank Nobels et Rebecca Everaert de l'OLV Aalst ainsi que le Prof. Ides Michel Colin et Corinne Henry du CHR Mons-Hainaut, confirment également le témoignage de Leslie dans leur pratique quotidienne. Pour tous ces intervenants, la facilité offerte par ce type d'appareils est réelle, mais cela demande aussi un apprentissage et une éducation du patient à bien placer le biosenseur et à bien utiliser l'appareil. De nouvelles habitudes doivent être prises, comme éviter les saunas et hammams ou ne pas rester dans l'eau plus d'une demi-heure. À part cela, les intervenants, et Leslie elle-même, n'ont constaté que très peu de décollage intempestif du biosenseur. Tous notent cependant qu'à chaque changement de biosenseur, tous les 14 jours, les résultats peuvent être légèrement perturbés au cours des 24 premières heures.Ils s'accordent pour affirmer qu'il s'agit d'un progrès majeur pour les patients, pour leur prise en charge et leur suivi ainsi que pour les équipes soignantes, car les patients sont capables de s'approprier leur maladie et sa gestion.