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Dans l'étude, 1 355 femmes présentant un risque familial de cancer du sein répertoriées sur 12 sites aux Pays-Bas ont été randomisées entre janvier 2011 et décembre 2017 pour passer une IRM et un examen clinique du sein plus une mammographie biennale (groupe IRM, n = 675) ou une mammographie annuelle et un examen clinique des seins (groupe mammographie, n = 680). Les femmes étaient âgées de 30 à 55 ans et avaient un risque cumulatif de cancer du sein au cours de la vie ≥ 20% en raison de prédispositions familiales, mais étaient de type sauvage pour BRCA1 , BRCA2 et TP53 .Le nombre moyen de cycles de dépistage par femme était de 4,3. Un total de 40 cancers du sein ont été détectés dans le groupe IRM contre 15 dans le groupe mammographie (p = 0,0017). Parmi les 24 cancers invasifs détectés dans le groupe IRM contre 8 dans le groupe mammographie, ceux du groupe IRM étaient plus petits (taille médiane = 9 mm vs 17 mm, p = 0,010) et moins fréquemment positifs au niveau ganglionnaire (n = 4 [17%] vs 5 [63%], p = 0,023).Saadadmand S et al. MRI versus mammography for breast cancer screening in women with familial risk (FaMRIsc): a multicentre, randomised, controlled trial. The Lancet Oncology Published:June 17, 2019 ; DOI: https://doi.org/10.1016/S1470-2045(19)30275-X ; https://www.thelancet.com/journals/lanonc/article/PIIS1470-2045(19)30275-X/fulltext