Tout sur UZ Gent

La prise en charge des urgences urologiques n'est pas toujours évidente au sein de la première ligne. Pourtant, le médecin généraliste joue un rôle crucial dans le triage, le dépistage et le suivi. Le Pr Anne-Françoise Spinoit, urologue à l'UZ Gent, fait le point sur les calculs urinaires, la rétention urinaire, la pyélonéphrite et la prostatite. Elle attire également l'attention sur deux présentations urologiques rares, mais à ne pas rater.

La douleur fantôme est définie comme une douleur provenant de la partie amputée d'un membre. Selon cette définition, la douleur fantôme doit être distinguée de la douleur du moignon, qui émane pour sa part de la partie du membre encore présente. Comment appréhender la douleur fantôme?

Le syndrome douloureux régional complexe (SDRC) est le nom actuel de ce que l'on appelait autrefois la dystrophie post-traumatique, l'algodystrophie réflexe ou l'atrophie de Sudeck (*). Deux types de SDRC sont décrits. L'article ci-dessous se concentre sur le type 1, qui représente 90% des cas de SDRC.

L'UZ Gent a commencé à utiliser un nouveau scanner qui prend des images de patients souffrant de problèmes aux jambes. Ces derniers peuvent se tenir debout lors de l'imagerie grâce à l'appareil, appelé HiRise. Les médecins peuvent ainsi établir un meilleur diagnostic qu'en position allongée avec les scanners traditionnels. Selon l'hôpital, il s'agit d'une première au sein du Benelux.

L'obligation du port du masque dans les établissements de soins constitue la dernière règle sanitaire "stricte" encore en vigueur. Au nord du pays, le secteur des soins de santé espère qu'elle pourra bientôt être supprimée. Côté francophone, le secteur plaide au contraire pour un maintien de l'obligation du port du masque dans les hôpitaux.

Depuis que la douleur est considérée comme le cinquième paramètre vital, le recours aux opioïdes n'a cessé de progresser, au point que le nombre de prescriptions d'antalgiques lourds délivrées par les officines belges a doublé en l'espace d'une décennie. Dans ce contexte, il semble plus que jamais capital de trouver un bon équilibre entre une analgésie optimale et la prévention des problèmes d'abus et de dépendance.

L'éventail des traitements médicamenteux dans le domaine de la polyarthrite rhumatoïde s'est considérablement élargi ces dernières décennies. Il y a une vingtaine d'années, les traitements classiques ont ainsi été rejoints par les médicaments biologiques puis, dix ans plus tard, par les biosimilaires. Dans un passé plus récent, on a vu arriver sur le marché les inhibiteurs des JAK. Ce choix très large est en principe une très bonne chose... mais la médaille a aussi son revers.

L'hypertension est un domaine thérapeutique qui avance à petits pas et qui n'a pas connu ces dernières années de grands bouleversements. "Et c'est justement pour cela que nous devons rester vigilants et garder à l'esprit les guides de pratique clinique", souligne le Pr Tine De Backer (cheffe de clinique en cardiologie à l'UZ Gent).

L'Etat va financer des applications pour la réadaptation de patients ayant bénéficié de la mise en place d'une prothèse totale de la hanche ou du genou. Elles permettent de soutenir à distance les soins apportés par le kinésithérapeute. Dans un premier temps, ces applications seront utilisées dans le cadre d'une étude clinique comparative

Ces dernières semaines, on a beaucoup parlé d'une aggravation possible du Covid-19 chez les patients qui prennent des inhibiteurs de l'ACE ou des sartans. Entre-temps, les experts estiment qu'il n'existe aucune raison d'arrêter de prendre ces médicaments. Le Pr Dr Tine De Backer, cardiologue à l'UZ Gent, nous explique ce qu'il en est exactement.

Deux études sont actuellement en cours sous la direction de l'UZ Gent afin d'examiner si le choc cytokinique lié au Covid-19 peut être traité par voie médicamenteuse. Le Pr Bart Lambrecht, pneumologue à l'UZ Gent, directeur des recherches sur les maladies inflammatoires à l'Institut flamand de biotechnologie et directeur de ces travaux, nous explique par le menu cette matière hautement complexe.

La semaine dernière, un groupe d'experts et d'autorités publiques a préparé un premier "plan d'augmentation de capacité qui devrait permettre une organisation coordonnée, adéquate et efficace de la capacité de traitement dans les hôpitaux belges", rapporte Le Soir ce jeudi. Huit hôpitaux universitaires doivent se mettre en ordre de marche. Ce plan d'augmentation de capacité est signé par le Risk management group, les experts qui conseillent les politiques pour la gestion de l'épidémie.

DERMATOLOGIE De nouvelles perspectives cliniques et une plus grand offre thérapeutique ont incité le Pr Jo Lambert et son équipe du service de dermatologie de l'UZ Gent à mettre sur pied un programme de soins plus global à l'attention de leurs patients atteints de psoriasis.

A partir d'octobre, les huit centres de génétique du pays proposeront un test aux futurs parents, afin d'évaluer le risque que leur bébé souffre d'une maladie rare, rapporte mardi De Morgen.

La thérapie CAR-T, une nouvelle génération d'immunothérapie, sera remboursée à partir du 1er juin 2019 pour le traitement de deux types de cancer du sang. Nonante patients vont pouvoir en bénéficier en 2020.

Voilà 200 ans, le Dr James Parkinson publiait son essai sur " la paralysie agitante ", une combinaison de différents symptômes, appelée plus tard par le Dr Charcot " maladie de Parkinson ", que nous connaissons aujourd'hui. Il a aussi attendu avec impatience un traitement définitif de cette maladie qu'il décrit comme douloureuse et dramatique. A l'heure actuelle, où en sommes-nous?

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Les médecins font face à un nombre croissant de violences verbales, psychologiques, physiques, voire sexuelles, dans le cadre de leur profession. Quel impact ces agressions peuvent-elles avoir? Et comment (mieux) les gérer?

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