Seul un étudiant sur dix réussira l'examen", se plaint-il. "Limiter l'accès aux étudiants qui veulent faire des études difficiles, alors que nous sommes en situation de pénurie relève du surréalisme", ajoute-t-il.

Pour le ministre PS, le système de l'examen d'entrée ne sera pas "bon". Mais il n'a pas le choix. Il ne peut en prendre un autre car sinon les étudiants n'auront pas leur numéro Inami "et les étudiants auront fait 7 années pour rien".

Dans la foulée, l'année de propédeutique qui avait grâce à ses yeux tombe à l'eau car elle n'a pas de sens si 90% des étudiants échouent à l'examen d'entrée. En revanche un système qui "aide les étudiants" à réussir l'examen pourrait être mis à l'étude avec les doyens. Une Septième année d'humanités comme pour les ingénieurs civils ?

Enfin, le ministre émet des craintes également que le lissage négatif (récupération sur les générations futures des numéros distribués aujourd'hui) ne puisse mettre en péril l'existence même de certaines facultés de médecine payée à la tête de pipe. Le ministre plaide donc pour un lissage négatif sur 20 ou 30 ans pour amortir le choc.

Seul un étudiant sur dix réussira l'examen", se plaint-il. "Limiter l'accès aux étudiants qui veulent faire des études difficiles, alors que nous sommes en situation de pénurie relève du surréalisme", ajoute-t-il. Pour le ministre PS, le système de l'examen d'entrée ne sera pas "bon". Mais il n'a pas le choix. Il ne peut en prendre un autre car sinon les étudiants n'auront pas leur numéro Inami "et les étudiants auront fait 7 années pour rien". Dans la foulée, l'année de propédeutique qui avait grâce à ses yeux tombe à l'eau car elle n'a pas de sens si 90% des étudiants échouent à l'examen d'entrée. En revanche un système qui "aide les étudiants" à réussir l'examen pourrait être mis à l'étude avec les doyens. Une Septième année d'humanités comme pour les ingénieurs civils ?Enfin, le ministre émet des craintes également que le lissage négatif (récupération sur les générations futures des numéros distribués aujourd'hui) ne puisse mettre en péril l'existence même de certaines facultés de médecine payée à la tête de pipe. Le ministre plaide donc pour un lissage négatif sur 20 ou 30 ans pour amortir le choc.