Ainsi, la Confédération des syndicats de médecins français qualifie cette décision de "premier acte pour retrouver la confiance des médecins libéraux", rapporte le Quotidien du médecin. Le syndicat défend le tiers payant social, à l'appréciation du médecin. "Nous n'avons eu de cesse de dénoncer le dispositif, casse-tête administratif et bureaucratique, faisant du médecin un contrôleur au lieu d'un soignant", souligne sur Quotimed.fr la centrale syndicale, pour qui cette décision "rompt avec le dogmatisme du précédent quinquennat".

MG-France, syndicat de généralistes, se réjouit également puisque la décision s'appuie sur un rapport de l'administration qui n'a pu que constater l'impossibilité de pratiquer ce TP et le fait que les délais de remboursement sont "incompatibles avec les contraintes d'un exercice libéral".

Même les jeunes médecins rassemblés autour du Regroupement autonome des généralistes jeunes installés et remplaçants (ReAGJIR) se réjouissent : "Nous souhaitons suivre plus facilement les remboursements et ne pas avoir à appeler des centaines d'organismes sur du temps que nous n'avons pas ", souligne, toujours dans le Quotidien du médecin, le Dr Yannick Schmitt, vice-président. "Le tiers payant est un très bon outil, mais il ne sera utilisé que s'il est facile à mettre en oeuvre et qu'il fonctionne réellement."

Ainsi, la Confédération des syndicats de médecins français qualifie cette décision de "premier acte pour retrouver la confiance des médecins libéraux", rapporte le Quotidien du médecin. Le syndicat défend le tiers payant social, à l'appréciation du médecin. "Nous n'avons eu de cesse de dénoncer le dispositif, casse-tête administratif et bureaucratique, faisant du médecin un contrôleur au lieu d'un soignant", souligne sur Quotimed.fr la centrale syndicale, pour qui cette décision "rompt avec le dogmatisme du précédent quinquennat".MG-France, syndicat de généralistes, se réjouit également puisque la décision s'appuie sur un rapport de l'administration qui n'a pu que constater l'impossibilité de pratiquer ce TP et le fait que les délais de remboursement sont "incompatibles avec les contraintes d'un exercice libéral". Même les jeunes médecins rassemblés autour du Regroupement autonome des généralistes jeunes installés et remplaçants (ReAGJIR) se réjouissent : "Nous souhaitons suivre plus facilement les remboursements et ne pas avoir à appeler des centaines d'organismes sur du temps que nous n'avons pas ", souligne, toujours dans le Quotidien du médecin, le Dr Yannick Schmitt, vice-président. "Le tiers payant est un très bon outil, mais il ne sera utilisé que s'il est facile à mettre en oeuvre et qu'il fonctionne réellement."