Le docteur Hueting répond à divers messages lus au cours de la dernière fin de semaine. Tout d'abord, on a appris que l'UZ Gent facture 58,86 euros de plus pour les cas complexes et pour un "second avis". Un peu plus tard, il s'est avéré que non seulement l'UZ de Gand l'a fait, mais que cela se produit aussi à l'hôpital universitaire d'Anvers. Il y a même un tarif fixe de 165 euros. La motivation est que le médecin doit analyser à nouveau l'ensemble du dossier de manière approfondie avant de pouvoir donner un deuxième avis. D'un autre côté, bien sûr, il y a un coût supplémentaire.

Pas de frais supplémentaires

L'UZ Brussel a également apporté sa contribution. Cet hôpital a indiqué qu'il a également fourni une "deuxième opinion", mais qu'il n'a pas facturé de frais supplémentaires à cet égard. On dit que l'UZ Brussel "ne veut pas restreindre l'accessibilité des soins et l'initiative du patient". Bruxelles convient que cela prend plus de temps qu'une consultation normale. "La solution est un ajustement de la nomenclature, plutôt que de facturer des surcoûts au patient", selon l'UZ Brussel, qui préconise donc un remboursement ajusté pour les consultations après un "second avis".

Pour la ministre des Affaires sociales et de la Santé publique, Maggie De Block (Open VLD), un deuxième avis est simplement une nouvelle consultation. Il est donc soumis au taux normal. Aucun frais supplémentaire ne peut être facturé.

Syndicat général

Apparemment, ni les hôpitaux universitaires ni le ministre compétent ne sont bien conscients de ce que couvre la nomenclature, certes complexe. L'ASGB a élaboré le numéro de nomenclature 102955 ("Première consultation au cabinet par un médecin spécialiste en médecine interne, avec examen sur la base des éléments existants dans le dossier médical d'un patient présentant une pathologie complexe sans diagnostic précis et pour lequel le traitement n'a pas donné de résultats suffisant").

Avec ce numéro existant, les spécialistes en médecine interne peuvent demander un deuxième avis pour un montant de 90,13 euros. Dont acte.

Le docteur Hueting répond à divers messages lus au cours de la dernière fin de semaine. Tout d'abord, on a appris que l'UZ Gent facture 58,86 euros de plus pour les cas complexes et pour un "second avis". Un peu plus tard, il s'est avéré que non seulement l'UZ de Gand l'a fait, mais que cela se produit aussi à l'hôpital universitaire d'Anvers. Il y a même un tarif fixe de 165 euros. La motivation est que le médecin doit analyser à nouveau l'ensemble du dossier de manière approfondie avant de pouvoir donner un deuxième avis. D'un autre côté, bien sûr, il y a un coût supplémentaire.L'UZ Brussel a également apporté sa contribution. Cet hôpital a indiqué qu'il a également fourni une "deuxième opinion", mais qu'il n'a pas facturé de frais supplémentaires à cet égard. On dit que l'UZ Brussel "ne veut pas restreindre l'accessibilité des soins et l'initiative du patient". Bruxelles convient que cela prend plus de temps qu'une consultation normale. "La solution est un ajustement de la nomenclature, plutôt que de facturer des surcoûts au patient", selon l'UZ Brussel, qui préconise donc un remboursement ajusté pour les consultations après un "second avis".Pour la ministre des Affaires sociales et de la Santé publique, Maggie De Block (Open VLD), un deuxième avis est simplement une nouvelle consultation. Il est donc soumis au taux normal. Aucun frais supplémentaire ne peut être facturé.Apparemment, ni les hôpitaux universitaires ni le ministre compétent ne sont bien conscients de ce que couvre la nomenclature, certes complexe. L'ASGB a élaboré le numéro de nomenclature 102955 ("Première consultation au cabinet par un médecin spécialiste en médecine interne, avec examen sur la base des éléments existants dans le dossier médical d'un patient présentant une pathologie complexe sans diagnostic précis et pour lequel le traitement n'a pas donné de résultats suffisant").Avec ce numéro existant, les spécialistes en médecine interne peuvent demander un deuxième avis pour un montant de 90,13 euros. Dont acte.