Le Pacte n'a pas autorité juridique absolue mais un Comité des Droits de l'homme indépendant de l'Assemblée générale des Nations-Unis en vérifie l'application dans les Etats signataires. Ceux-ci doivent justifier de son application.

Selon un comité de signataires apparemment farouchement opposé à l'euthanasie qui s'émeut dans la presse française, un projet d'observations soumis à adoption définitive avant la fin de cette année à l'ONU assimilerait le droit à l'euthanasie et à l'avortement à des droits individuels proclamés. Le Comité des droits de l'homme insisterait sur le devoir des États de faciliter les droits d'avorter et d'euthanasier.

Les signataires, parmi lesquels on retrouve d'éminents juristes, appellent les États, leurs gouvernants, l'opinion publique internationale ainsi que les autres organisations de défense des droits de l'homme, "à condamner clairement ce projet d'observations et à demander au Comité des droits de l'homme de l'abandonner, en restant fidèle à l'esprit tant de la Déclaration universelle de 1948 que du Pacte international de 1966 : la valeur de la vie et sa défense absolue, en toutes circonstances".

Le Pacte n'a pas autorité juridique absolue mais un Comité des Droits de l'homme indépendant de l'Assemblée générale des Nations-Unis en vérifie l'application dans les Etats signataires. Ceux-ci doivent justifier de son application. Selon un comité de signataires apparemment farouchement opposé à l'euthanasie qui s'émeut dans la presse française, un projet d'observations soumis à adoption définitive avant la fin de cette année à l'ONU assimilerait le droit à l'euthanasie et à l'avortement à des droits individuels proclamés. Le Comité des droits de l'homme insisterait sur le devoir des États de faciliter les droits d'avorter et d'euthanasier. Les signataires, parmi lesquels on retrouve d'éminents juristes, appellent les États, leurs gouvernants, l'opinion publique internationale ainsi que les autres organisations de défense des droits de l'homme, "à condamner clairement ce projet d'observations et à demander au Comité des droits de l'homme de l'abandonner, en restant fidèle à l'esprit tant de la Déclaration universelle de 1948 que du Pacte international de 1966 : la valeur de la vie et sa défense absolue, en toutes circonstances".